Glané sur le site renneslechateau-fr.com, cet avis de Jérôme Choloux paru ce dimanche 26 juin :
Tout d’abord l’objectif annoncé ne m’a pas paru atteint, c’est-à-dire celui de « dépasser le stade du simple règlement de comptes pour mieux rendre hommage à tous les passionnés de la véritable Histoire du Razès qui, dans leur immense majorité, continuent de croire à l’un des plus beaux mystères de tous les temps. » (Je fais partie de cette majorité).
En effet, le livre est avant tout – et tout du long – une charge violente contre Michel Vallet. Difficile de juger quoique ce soit en n’ayant pas été partie prenante de cette affaire, donc rien à dire là-dessus (si ce n’est que ramené à savoir qui fournissait les pique-nique. On a déjà lu tout ça à l’époque, où le clash se déroulait en direct).
La meilleure partie du livre sera sans conteste l’hommage qui est rendu à M. Didier Héricart de Thury dont l’apport est incontestable et probablement majeur.
A la lecture du livre, on remarque que des morceaux de « L’Or de Rennes », – le précédent livre, sont repris partiellement ou in-extenso dans Le trésor qui rend fou. C’est le cas, par exemple, du chapitre : « Sous les pavés, la plage », p.33 à 37 de L’Or de Rennes, qui se retrouve pp.79 à 87 du Trésor qui rend fou.
Le chapitre « Bergère, Poussin, la clef… » p.39 de L’Or de Rennes, se retrouve partiellement repris et additionné d’une partie du chapitre « Pas de tentation, que Teniers » p.53 (Or de Rennes) pour toute la partie qui concerne St Sulpice. L’ensemble se retrouve à partir de la page 89 du Trésor qui rend fou, dans un chapitre titré cette fois-ci « Poussin, le verrou historique ».
Bien évidemment, que tous les passionnés de la véritable histoire du Razès, ceux qui sortent le portefeuille et achètent les livres qui sortent, ne pouvaient louper ces échos qui ne me paraissent avoir comme but que de saluer les amis au passage.
La nouveauté majeure du livre c’est donc l’analyse du tableau de Poussin et la fameuse figure géométrique qu’on avait rapidement aperçu en 2011 et déterminé sur le tableau par l ’emplacement de plusieurs points géographiques sur le terrain. Elle sert d’ailleurs sur d’autres éléments comme par exemple la Pièta de Rennes-les-Bains et la dalle de coumesourde. Chacun s’en fera son idée maintenant que les éléments sont diffusés.
Là où je suis déçu, c’est que pour ce qui est des documents concernant Jean Jourde, il faudra probablement attendre un autre livre.
A noter que Jérôme Choloux a créé un site web en 2011 intitulé : Passion-rlc.fr On salue son attitude pondéré et sa clarté de propos.
Extrêmement déçu par cet ouvrage dont la majeure partie est constituée d’attaques personnelles et privées (non seulement contre Michel Vallet, mais encore contre d’autres écrivains et chercheurs, autant faire un tir groupé !) qui n’intéressent absolument pas les passionnés de Rennes-le-Château. Ces règlements de compte ne présentent aucun intérêt à la lecture et n’apporte rien à la recherche et à l’histoire de Rennes.