18,00 €Le prix initial était : 18,00 €.17,00 €Le prix actuel est : 17,00 €.
Serge RAMOND : Les graffiti du château de Gisors et leurs estampages, commentés par Gérard de Sède En 1962, Gérard de SÈDE publie Les Templiers sont parmi ou ou l’énigme de Gisors. Cet ouvrage, appelé à un certain succès, n’en fut pas moins éreinté par la critique. Des historiens relevèrent toutes sortes de lacunes ou de raccourcis auxquels l’auteur s’était prêté. Mais, ce livre eut pour effet bénéfique d’attirer l’attention sur la forteresse de Gisors jusqu’alors méconnue, proche de Paris, et particulièrement sur une série de graffiti exceptionnels gravés dans une des tours de ce dispositif médiéval. L’aubaine voulue que M. Serge RAMOND, qui pratiquait depuis peu des relevés graphiques, par lez procédé de l’estampage, s’intéressa aux graffiti de Gisors. Il en a résulté une publication, – limitée à 780 exemplaires, parue en 1976, coordonnée avec Gérard de SÈDE. Dans le même temps, son mentor le conduira à Rennes-le-Château, où M. RAMOND procèdera à l’estampage de la fameuse dalle dite « des chevaliers »… C’est tout ce travail de synthèse et de compréhension que nous proposons au lecteur, assorti de documents nouveaux.
25,00 €Le prix initial était : 25,00 €.24,00 €Le prix actuel est : 24,00 €.
Le nom de Rennes-le-Château est volontiers associé aux péripéties de son ancien Curé, l’abbé Bérenger Saunière. Son étonnante prodigalité, ses constructions somptuaires ont largement monopolisé l’attention, jusqu’à faire oublier que ce petit village fut autrefois la capitale d’un comté, puis le siège d’une baronnie : celle des Hautpoul-Blanchefort. Témoins de ce passé qui s’en est allé, un château aux cicatrices indélébiles et une église-chapelle redécorée au XIXème siècle dans le plus pur style Saint-Sulpicien.
La tâche était immense de reconstituer l’histoire de cette famille qui occupa un rang considérable dans l’armorial français. Mais, qui mieux que M. René Descadeillas aurait pu réussir une telle performance… ?
Le résultat, c’est un récit limpide basé sur une documentation sans faille, fruit des recherches de l’auteur au cursus d’archiviste et de bibliothécaire.
Paru en 1964, Rennes et ses derniers seigneurs a toujours été considéré comme un ouvrage de référence, intéressant tout autant le lecteur curieux du passé de cette baronnie du Razès, que le chercheur soucieux de s’informer sur une énigme qui perdure depuis si longtemps. À l’origine, ce livre est paru en 1964. Réédition du reprint de 2007, avec des illustrations nouvelles couleur et tout le cadastre de la commune de Rennes-le-Château, établi en 1830.
20,00 €Le prix initial était : 20,00 €.19,00 €Le prix actuel est : 19,00 €.
C’est le hasard qui a mis M. Germain Blanc-Delmas sur la piste d’un artefact, un jour d’octobre 2002. C’était un crâne découvert dans le chœur de l’église de Rennes-le-Château, lors d’ une fouille autorisée en mars 1956. On ignorait ce qu’il était devenu. À cœur de voir cette relique réintégrer les lieux, M. Germain Blanc-Delmas ne ménagea pas ses efforts. Son obstination fut récompensée douze ans plus tard, en mai 2014 ! Le Caput Reddis, ainsi nommé affectueusement par l’auteur, est désormais visible dans le Musée du Domaine de l’abbé Saunière, à Rennes-le-Château. Quel était ce personnage qui eut les honneurs d’être inhumé au pied de l’autel ? M. Germain Blanc-Delmas a mené son enquête. Et elle est passionnante.
Format : 16 x 24, 154 p., nombreuses illustrations couleur et Noir/Blanc
14,00 €Le prix initial était : 14,00 €.13,00 €Le prix actuel est : 13,00 €.
Format : 13 x 20, 400 p., ill. in-texte Les origines de Rennes-le-Château se perdent dans la nuit des temps. Etape celtique sur la route d’Espagne, oppidum gallo-romain, base arrière des Wisigoths… ? Rennes-le-Château n’en finit pas d’intriguer curieux et chercheurs. Enfant du pays, Jean Alain Sipra s’est fait l’historien de cette antique capitale du Razès. Il nous fait ainsi découvrir ce que fut l’étonnante cité de Rennes-le-Château, à une époque où elle portait le nom de Rhedae. Preuves archéologiques à l’appui, l’auteur fait encore la démonstration que là, en ces lieux, existait un orgueilleux mausolée qui abritait les sépultures des rois Wisigoths ! Loin d’être une simple hypothèse, cette découverte de Jean Alain Sipra – déjà vérifiée sur le terrain – pourrait être l’arbre qui cache la forêt. À Rennes-le-Château, une autre ombre plane : celle de Marie Madeleine.