Il y a trois jours, j’ai fait écho du reportage diffusé le 17 octobre par la chaîne TNT “RMC Découverte” consacrées aux “Reliques sacrées” et dont deux thèmes retenaient notre attention, l’un roulait sur les mystères Boudet, l’autre sur ceux de la montagne de Bugarach. Les reportages sur Rennes-le-Château sont suffisamment rares à la télévision française pour qu’ils suscitent un certain intérêt auprès des passionnés de cette affaire. Celui-ci n’a pas manqué à la règle. J’ai dit les limites d’un tel exercice, il faut en accepter les contraintes. Hélas, ce n’est pas l’opinion de tout le monde. Sur les réseaux sociaux, André Goudonnet, que l’on voit dans le film l’espace de 10 secondes, regrette que l’on ait caviardé une heure d’entretien. Quant à André Douzet, il déplore que son nom ne figure pas au générique comme propriétaire d’un certain plan détaillant les graffiti du château de Bugarach et dont le film fait la part belle. Il s’est d’ailleurs fendu d’un “droit de réponse” à l’adresse de ces insouciants solliciteurs.
C’est peut-être l’occasion de faire part d’une mise au point, sous la forme d’une vidéo de deux minutes et demi, au sujet de ce que j’appellerais le vitrail “à la nef” ou “à la roue”, regardé par quelques mystagogues comme “à clef”, faisant partie d’un codage d’ampleur dans toute la région, telle une toile d’araignée.
A voir : Bugarach, le vitrail à la nef. “Le naufrage d’une légende”.