De l’aveu même de l’auteur, ce livre ne serait que la forme condensée d’un plus volumineux ouvrage. Las… La version rendue publique faisant déjà près de 900 pages ! D’emblée, M. Treil fait table rase de toute la littérature spécialisée qui l’a précédé, qualifiant le tout de “ballons de baudruche”. C’est un vieux truc littéraire qui consiste à s’imposer et faire l’impasse des réclamations résultant de la science chapardeuse de notre maître en rhétorique. Sans autrement s’embarrasser de preuves, avançant pas à pas, l’auteur est convaincu que le secret de Rennes ne peut être que religieux. Farouchement conservé par toute une lignée de prêtres depuis le XVIIe siècle.
L’auteur use et abuse d’une forme (assez primaire) de la numérologie cryptographique, qui consiste à faire l’addition des lettres d’un mot en retenant la place qu’ils occupent dans l’alphabet. A = 1; B = 2; C = 3. Avec ce résultat, il fait le choix d’ équivalents et la concordance donne le résultat en clair. Exemple : Magdala : 13 + 1 + 7 + 4 + 1 + 12 + 1 = 39 et Graal : 7 + 18 + 1 + 1 + 12 = 39. CQFD : MAGDALA désigne le GRAAL !
Fouquet, Pavillon, Poussin, Billard, Saunière, Boudet, tous ces noms , évidemment, tournent en boucle. Mais il y a un dénominateur commun à cette farandole, c’est l’organisation intégriste de l’AA, qui vit le jour au XVIIe siècle, laquelle fut dépositaire de ce grand Secret. Ce grand Secret qui ne serait autre que l’Arche d’Alliance enfouie quelque part sous le Cardou, au Nord de Rennes-les-Bains. Terrible coffre déposé dans un labyrinthe dont les entrées restent encore à découvrir.
Si l’on peut saluer l’opiniâtreté de l’auteur à se frayer un chemin dans cette jungle de signes symboliques, théologiques et mythologiques, on ne peut que regretter son dogmatisme. La foi, seule, vaut preuves !
Un grand absent, cependant : c’est Jean Jourde, dont il avait été rappelé le rôle primordiale, voici quelques années, dans cette affaire. En réalité, il n’y a pas que le secret qui ait été dérobé, en la circonstance, mais la vérité aussi.
GE. Diffusion, 2015.
Bonjour Michel,
A la lecture de ton papier, il est évident que tu n’as pas lu ce livre “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU, L’ENIGME” ; c’est dommage pour toi !…
Mais, ce n’est pas bien grave car ce livre n’a pas pour vocation d’être exclusivement destiné aux chercheurs de RLC.
Merci tout de même pour la pub que tu nous fais avec cette critique.
Serais-tu intéressé pour diffuser ce livre sur ton réseau régional ?…
Si oui, mets-toi en relation avec l’éditeur, par le site “Code AA Rennes”
En attendant, reçois mes bons voeux pour une belle et heureuse année 2016 (si tu fais ce que je dis !…)
Cordialement
Raymond
txo@free.fr
Contrairement à vous, je me garde de porter un jugement péremptoire sur ce que je ne connais pas, encore moins un livre que je n’aurais pas lu. C’est bien parce que je l’ai lu que j’exprime mon opinion. Ce type de livre fait suite à une kyrielle d’autres ouvrages dont les auteurs prétendent avoir résolu l’énigme. Le “Code AA” ne fait pas exception. En revanche, il est fautif d’être sentencieux et arrogant en décrétant que toute la littérature antérieure est fautive. Or, si l’auteur ne cite que des sources en dehors du “cénacle”, on se rend bien compte qu’il les connaît. D’autant que ses preuves sont loin d’être convaincantes et qu’il met en exergue des éléments qui n’apportent rien, ni à la compréhension ni à la résolution du sujet. Le décryptage mis en place n’a pas beaucoup de valeur, il est sélectif et arbitraire, d’autant que l’auteur le met en pratique sur des pièces qu’il n’a pas authentifié et certifié pour notre histoire. En science historique, c’est nul.
Vous dites que cet ouvrage n’est pas nécessairement destiné à un public castelrenais, pourquoi pas ? En tout cas, je ne vois pas à qui il s’adresse pour autant qu’il faut un début et une fin. Ce “Code AA” me rappelle l’ouvrage de Patrick Ferté, salué à sa sortie comme un bouquin déterminant. Certes, il y a du travail, – Ferté alignant quelques pépites, mais lorsqu’on referme le livre, on n’a pas beaucoup avancé.
Certes, je suis un ignorant et cultive un “athéisme militant”, comme cela m’a été reproché. Mais au moins, je ne me contente pas de contes de fée et tente de faire coïncider recherches théoriques et reconnaissances sur le terrain.
Je sais bien que vous croyez détenir la “vérité” (Ponce Pilate aussi la cherchait, puisqu’il posa cette question à Jésus), mais le plus grand danger n’est-il pas de croire à ce qu’on voudrait qu’il fut vrai ?
Bonjour Michel, Je confirme que tu n’as pas lu le “CODE AA RLC…”, et je confirme aussi que tu n’as vraiment pas un très grand discernement pour comparer ce livre à l’ouvrage de Patrick Ferté… La différence entre ces deux livres se trouve dans le fait que dans le “CODE AA…”, l’auteur suit un plan vraiment bien établi par lequel il conduit le lecteur, par la main, jusqu’à une source tout en haut du Pech Cardou, une source dont tu as déjà entendu parler, par le passé, mais que tu n’as pas été capable de bien situer… Par contre, le livre de Patrick Ferté est un tartinage ésotérique qui nous annonce une suite qui ne fut jamais publiée car l’inspiration de l’auteur s’est soudain tarie, tout comme celle d’un Jean Robin avec son lasagne ésotérique qu’est “LE ROYAUME DU GRAAL” dont, arrivé à la fin, le lecteur s’interroge au sujet de ce qu’a voulu dire l’auteur… Aligner des éléments disparates est une chose… Etablir un lien solide entre eux, en alignant les preuves, est une autre chose plus académique !… Nous verrons dans les mois qui viennent pour la suite concernant les fruits portés par cet ouvrage d’Herman TREIL… Peu importe l’accueil des chercheurs de Rennes qui se retrouvent bousculés dans leurs convictions aussi nombreuses que disparates et opposées entre elles, car ils n’ont jamais vraiment pris la dimension eschatologique des mystères des prêtres de la Haute Vallée de l’Aude… Lis ce livre tranquillement en prenant ton temps et tu finiras par tout comprendre et tu n’éprouveras jamais plus le besoin de fréquenter des Daffos ou des Ericard de Thury… Alors pour ma proposition de diffusion sur ton réseau régional, sur l’Aude et le Roussillon ? es-tu intéressé, oui ou non ?… Meilleures pensées de Raymond…
Ta suffisance démontre que tu as absolument perdu toute lucidité. Tu es tellement persuadé de tout connaître, tout savoir, que tu en as perdu toute humilité. Peu importe, c’est ton affaire. Si je dis que ce “Code AA”, que j’ai lu, est un château de cartes, c’est que la réalité est ailleurs. JE TE METS D’AILLEURS AU DEFI DE FAIRE LA PREUVE D’UNE QUELCONQUE DECOUVERTE CONCRETE DANS LES MOIS PROCHAINS, DISONS AVANT l’ETE 2016.
Tes insinuations concernant Héricart et Daffos sont ridicules (comme beaucoup d’ailleurs, tu parles sans savoir) car je n’ai pas eu besoin d’eux pour continuer à évoluer, c’est d’ailleurs une des raisons de notre discorde.
Désormais, la discussion est terminée. Bien sûr, même si je suis en capacité de faire disparaître ces messages, je les laisse volontiers en visuel pour que l’internaute s’aperçoive de qui de nous deux fait preuve de plus de discernement.
Sacré Michel, l’avenir nous racontera la suite de l’histoire par le déroulé des évènements prochains (nous sommes dans les temps de la révélation de ces mystères depuis le jour de la renonciation du Pape Benoît XVI) ; ces temps qu’il ne nous appartient pas d’anticiper ou de dévoiler, car seul le Père Eternel connait le jour et l’heure de ces évènement douloureux, pas même le Fils ne connait qui auraient dû démarrer en 1980-81-82-83-84, mais nous savons qu’en 2020, tout sera rentré dans l’ordre, dans le calme, la paix et la concorde… Ainsi, c’est à ce même titre de compréhension du plan divin qu’il n’appartenait pas aux prêtres du Razès de l’époque des abbés Boudet et Saunière, de pouvoir en dire plus sur cette affaire !… Seules les prophéties chrétiennes apportent leur clarté… Et c’est pour cette raison que nos chers prêtres du Razès n’avaient pour seule possibilité, pour communiquer avec les générations futures, que de nous en laisser des messages partiels codés par des cryptages de différentes natures (écrits, tableaux, décoration, statuaire, cryptogramme, parchemins codés, etc.)… Ton problème, c’est en fait cet « athéisme militant » que tu revendiques sur un de tes messages précédents, et qui fait de toi un handicapé de l’âme, un aveugle complètement fermé et imperméable à toute tentative de compréhension de cette histoire extraordinaire et tu n’es pas le seul atteint de cette cécité, car cette pathologie spirituelle touche 96% des chercheurs de Rennes… Ils ont des yeux mais ils ne voient pas !… Ils ont des oreilles mais ils n’entendent pas !… Ils ont deux cerveaux, droit et gauche, mais ils ne comprennent pas !… Il n’y a vraiment aucune réponse dans ton livre co-écrit avec Azens “L’Oeil sur la Montagne” pas plus qu’il n’y a de réponse dans le livre d’André Goudonnet qui rend compte de 40 ans de recherches sur le livre de l’ouvrage de l’abbé H. Boudet, la VLC… Et je pourrais en citer bien d’autres tout aussi vides de réponses à nos mystères… Et tu le sais parfaitement depuis un demi-siècle que tu tournes en rond !… Seul “LE CODE AA, RLC…” permet d’avancer dans la compréhension des mystères du Razès car l’auteur prend le temps de suivre, pas à pas, la voie sacrée sacerdotale, voie réservée aux seuls prêtres, selon qu’il est écrit “REDIS BLES SOLIS SACERDOTIBUS”, formule qui pourrait se traduire par : “Le trésor de Rennes est destiné aux seuls prêtres”, c’est-à-dire à l’EGLISE Catholique Apostolique et Romaine, c’est-à-dire aux deux témoins qui recevront la mission d’avoir à relever l’Eglise de son ultime épreuve… Comment pourrais-tu comprendre un tel langage, toi qui est ignare en matière de prophétie chrétienne ?… Il n’y a rien de présomptueux en ce qui me concerne, simplement la juste récompense d’un très long travail !…
Donc Herman Treil, l’auteur de ce livre “CODE AA RLC…”, par prudence, ne dévoile pas tout ce qui serait à connaître… Te souviens-tu quand, au début des années 2000, je t’avais expliqué sur quelle piste je travaillais… Depuis, Je n’ai jamais changé de voie, et c’est toujours la même piste que je suis laborieusement depuis mon article sur un des bulletins de l’Association “Terre de Rhedae”, vers 1994, ayant pour titre “La Conversion d’Arsène Lupin”… Et j’ai été très largement récompensé de cette fidélité et de cette assiduité… Dans mon article, de 1994, la trame principale de nos mystères y était déjà impeccablement tracée, mais depuis, nous avons largement pris le temps, avec les membres de mon équipe, de très sérieusement approfondir et consolider nos connaissances… Il me reste une dernière question à te poser pour la troisième et dernière fois : “Serais-tu intéressé pour diffuser le livre “CODE AA RLC…” sur ton circuit languedocien ?… Belle et Heureuse année…
« LE CODE AA RENNES-LE-CHATEAU L’ENIGME » d’Herman TREIL
Par Alain PORET
Voilà un livre magistral qui éclaire l’Histoire de France. L’auteur, en révélant non pas un ésotérisme chrétien parmi d’autres, mais un christianisme ésotérique, y découvre en effet la disposition codée de l’église de Rennes-le-Château et de ses environs Rennes-les-Bains, Saint-Sernin de Toulouse etc.
Nombre de religieux ont connu ce « secret » (ésotérique, ce qui est « caché ») à travers les âges. C’est pourquoi à Rennes-le-Château, « Terribilis est locus iste ! » (« Terrible est ce lieu »). De même : « solis sacerdotibus » (« Réservé aux prêtres seuls »). Alors exit la gnose de Rennes-le-Château et sa propagation anglo-saxonne.
Sans pour autant dévoiler le contenu remarquable d’une érudition à partager par tous, l’auteur révèle dès le début que le Pape Léon XIII, dont le blason et la devise ornent le claveau central du porche de l’église de Rennes-le-Château, désignait le Sacré-Cœur comme « le labarum des temps nouveaux ».
L’auteur rappelle également qu’au plus fort de la première guerre mondiale, en 1917, la mystique Claire Ferchaud (1896-1972) transmettra au Président Raymond Poincaré la demande du Christ aux généraux et soldats français, de déployer le drapeau du Sacré-Cœur face à l’ennemi : le Président Paul Painlevé, Président du Conseil s’y opposa… Et, n’oublions pas que le Chef d’Etat-Major général qui avait refusé pour les armées le drapeau du Sacré-Cœur, avait pour nom… Philippe Pétain !
La Consécration du genre humain au Sacré-Cœur fut effectuée par le Pape Léon XIII, le 11 juin 1899… et renouvelée par le Saint Père Jean-Paul II, le 11 juin 1999 ! De même il y eut la construction de la basilique du Sacré-Cœur à Paris. Il est vrai que dans son Message délivré à sainte Marguerite-Marie en 1689, Jésus demandait aussi que son Sacré-Cœur soit peint sur les étendards du roi de France.
L’auteur nous fait savoir qu’en 1891, l’abbé Saunière fit graver l’invocation de la Médaille Miraculeuse sur la dalle de pierre déposée au pied de la statue de Notre-Dame de Lourdes solennellement érigée sur le pilier carolingien le 21 juin de cette même année, le tracé de cette Médaille constituant précisément la clef de la décoration codée de la petite église de Rennes-le-Château.
Enfin, il y a une histoire mystique du Languedoc, de la Narbonnaise au Razès, (Rhedae, futur Rennes-le-Château donna son nom à la vicomté du Razès), un milieu gaulois en Judée, la perspective de l’exil des « saints de Béthanie en Gaule vers 42 ou 43, le rôle que Jésuites et Lazaristes vont être amenés à jouer dans l’Enigme de Rennes-le-Château, la terre promise de Sion au cœur des Pyrénées.
Sans pour autant trahir les secrets du livre, on y découvre les relations entre Saint François de Sales (second patron de l’Aa après Notre-Dame), les Jésuites et saint Vincent de Paul, que l’on retrouve tous dans les Congrégations de la Sainte Vierge, aux origines de l’Aa.
On y apprend que Louis-Marie Grignon de Montfort (1673-1717), membre de l’Aa, auteur du traité de « La vraie dévotion à la Vierge » le fut des Jésuites à Rennes, et que « la plus part des membres de l’Aa comme autrefois, étaient choisis dans les rangs de la Congrégation de la Sainte Vierge ».On y apprend encore que l’Ascension fait le lien entre la fin de l’Evangile de Luc et les Actes des Apôtres de ce même évangéliste.
Bref, Rennes-le-Château est « l’Enigme d’un secret d’Eglise à faire pâlir le Da Vinci Code ! » peut-on lire à juste titre en dos de couverture…
Bonjour Michel,
J’ai une excellente nouvelle à t’annoncer qui réjouira le coeur des chercheurs !…
Le mystère des “Pommes bleues” a été enfin élucidé et cette découverte authentifie définitivement que les deux parchemins “dits de Saunière” ont bien été réalisés par les prêtres du groupe local de l’AA auquel appartenaient l’abbé Henri Boudet, l’abbé Antoine Gélis, les abbés Bérenger et Alfred Saunière, etc…
Et cela, bien entendu, n’a rien à voir avec les jeux de lumière provoqués par les vitraux de l’église de Rennes-le-Château, à la date du 17 janvier de chaque année…
Il te faut aussi savoir que ce n’est pas moi qui ait découvert l’explication de ce mystère, mais une lectrice du livre “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU”, L’ENIGME” d’Herman Treil…
Je peux simplement te dire que, nous les mecs, nous sommes vraiment des glands car nous passons près de choses très simples et évidentes, sans jamais les voir, en allant toujours chercher midi à quatorze heure !…
A l’époque j’avais fait rigoler le contre-amiral Georges Cagger lorsque je lui avais annoncé que je me demandais si ces “pommes bleues” n’étaient pas les curieuses roches du “Cugulhou du couchant” vues depuis le sommet de la montagne de Blanchefort ; mon annonce avait été accompagnée d’un croquis comportant une belle triangulation…
Il m’avait répondu qu’il trouvait mon propos puéril… Ce à quoi je lui avais répondu en lui demandant si lui-même ne trouvait pas son propre comportement puéril, lorsque il t’écrivait à toi Michel Vallet, en double correspondance : sous son vrai nom depuis son domicile de Neuilly-sur-Seine, et sous son pseudonyme “Pumaz” depuis la gare St Lazare à Paris…
Du coup, il s’était vexé et t’avait envoyé un courrier sévère parce que tu m’avais confié cette facétie de collégien…
Quand à en dire plus sur la signification des “pommes bleues”, il va te falloir attendre encore quelques temps…
Le but de ce petit message est juste de poser un acte d’antériorité à l’encontre des foules ignorantes…
Que les lecteurs sachent simplement que ce ne sont pas les hommes qui arriveront à mettre à jour le temple du Grand Romain (L’empereur Constant, fils de Saint Constantin et petit-fils de Ste Hélène), mais les forts dérèglements climatiques de nos temps mauvais…
Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa
Bonjour à tous,
Voici une communication tardive d’Herman Treil, tout heureux de découvrir les beaux fruits teintés de mélancolie, produits par la lecture de son prodigieux travail, mais qui, en nuances positives, expriment aussi en de riches couleurs océanes, ou en pastels célestes : le rêve, la sagesse, la sérénité, la vérité, la loyauté, et cette fraîcheur toute féminine dont notre affaire des mystères des deux Rennes a tant besoin pour adoucir l’esprit ardent et batailleur de ses rudes aventuriers…
En complément de la découverte de cette lectrice au sujet des “POMMES BLEUES”, Herman Treil communique en détaillant la chute significative de ce texte énigmatique : “Bergère pas de tentation que Poussin Teniers gardent la clef pax DCLXXXI par la croix et ce cheval de Dieu j’achève ce daemon de gardien à midi pommes bleues” ; et dont le livre “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU, L’ENIGME” livre la transcendante composition :
A MIDI POMMES * / BLEUES
dont :
A (2) + MIDI (79) + POMMES (95) = 186 !…
soit aussi :
“LA CHAMBRE HAUTE DU CENACLE” = 186 !…
dont la valeur grecque est déjà indiquée (voir “CODE AA RLC… page 186 !… )
Nombre inversé judicieusement utilisé dans le cryptage de cette ébouriffante énigme…
(Sur le “PAX 681”, voir “CODE AA RLC… page 733 !… )
C’est aussi la valeur comportant les détails de l’explication en référence à la valeur grecque du Cénacle des Evangiles (Cène : Dernier repas de Jésus avec ses disciples avant la Pâques et Pentecôte)…
Quand à l’adjectif inattendu pour colorer ces pommes…
BLEUES * = 78 = CALIX * !
(qui rapporte aussi à la liste des 78 mots de l’abbé Boudet dans la VLC, aux pages 18+19+20+21 = 78 ! et à la généalogie de Jésus chez Saint Luc, patron caché de l’AA et principal inspirateur de la décoration de l’église Sainte Marie-Madeleine de RENNES-LE-CHÂTEAU…
CALIX = Nom du calice de la Cène dans les Evangiles et dans la liturgie…
(Voir “CODE AA RLC…” page 709 !… )
Donc le lieu et l’objet sacré, soit “LA CHAMBRE HAUTE DU CENACLE” et le CALICE, soit le contenant et son contenu sacré, le calice de la Cène, qui a contenu lui-même le divin contenu, à savoir le Très Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus, qui invite aussi le lecteur à réexaminer l’ensemble de ce texte habilement crypté, l’humour n’en étant pas à exclure…
(Voir “CODE AA RLC…” page 681 et suivantes !… )
Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa
Communiqué d’Herman TREIL aux chercheurs et aux webmasters :
La disposition codée du GRAAL en l’église de Rennes-le-Château
Savez-vous qu’aux termes de la loi sur la protection de la propriété intellectuelle, la disposition codée mentionnée dans certains sites, fait l’objet d’un dépôt légal en novembre 1996 (il y a donc près de 20 ans), sous le nom de son découvreur Henri Mertal, anagramme d’Herman Treil ? Que ce dernier est, du reste, l’auteur d’un ouvrage fondamental : Code AA, Rennes-le-Château, l’Énigme, éclairant notamment le contexte historico-religieux de ce tracé élargi dans le temps comme dans l’espace ? Travail de bénédictin aussi documenté que passionnant (896 pages et plus de 200 illustrations), d’un auteur discret et d’une rare érudition, vivant délibé-rément à l’écart de toute médiatisation. Si la disposition codée, reprise sans références en de nombreux ouvrages, revues, publications, thèse de doctorat en littérature comparée, documentaires télévisés, a fait le tour du monde par le biais des sites Internet, cette œuvre maîtresse, inscrite par son sérieux dans la durée, mérite bien, sans nul doute, votre intérêt et le rétablissement de la source omise dans votre texte.
Merci pour votre travail d’information.
Bonjour à tous,
Comme l’annonce Radio Vatican, le pape François a institué pour Sainte Marie-Madeleine une fête liturgique, qui restera inscrite à la date du 22 juillet. Elle sera fêtée de la même manière que les apôtres « afin qu’elle soit un modèle pour toute femme dans l’Église ».
Plus exactement, il serait juste dire que sa mémoire sera remplacée par une solennité.
Voici un lien pour un vibrant hommage à Sainte Marie Madeleine :
http://www.codeaa-rennes-le-chateau.fr/WP/2016/06/14/en-hommage-a-sainte-marie-madeleine-et-a-la-decision-du-pape-francois/
Je vous en souhaite bonne lecture et une profonde méditation…
Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa