Voyez comment, d’un livre à l’autre, la sémantique évolue. D’une vérité subjective, on est passé à une vérité péremptoire.
La prochaine fois, on sera dans une vérité dogmatique
Alors, ouais, j’ai lu ce bouquin. Bof ! Pas terrible. Très confus, répétitif. Vraiment, si c’est un livre dédié à la mémoire de Didier Héricart de Thury, Daffos & Garnier ne lui ont pas fait de cadeau.
C’est plein de mensonges, d’approximations douteuses et d’imputations grossières.
Il a quelques classiques que l’on retrouve dans ce bouquin et que nos deux compères avaient déjà égrenés par ailleurs, soit ensemble, soit individuellement (contrat Boumendil, droits d’auteurs du “secret dérobé”, la lettre du Prado, le PV de gendarmerie, etc., etc.) Cela fait bien sur le papier, mais devant une Juridiction, l’esbrouffe ne suffira pas.
Ces deux-là me menacent d’une procédure à multiples facettes, qu’ils y réfléchissent à deux fois. Lorsqu’il s’agira d’apporter des éléments de preuves appuyant toutes leurs accusations, ce sera une autre affaire. J’ai pourtant prévenu qu’il m’était possible de démontrer que chaque point d’attaque n’était basé que sur la calomnie et le dénigrement. Ils sont sourds !
Vous deux, vous pouvez gruger vos lecteurs, leur raconter toutes les sornettes dont vous soyez capables. Sachez que les imputations et les accusations ne deviendront jamais des vérités. Ils ne s’agit pas de les asséner, de les répéter pour les rendre authentiques.
Un conseil avant de faire quoi que ce soit d’irréversible, allez voir respectivement un avocat et soumettez-leur vos griefs, ainsi que les éléments que j’ai déjà esquissé dans certaines de mes réponses. Accuser quelqu’un, dénigrer, calomnier, n’est pas un jeu. Le lecteur ou l’internaute n’a pas toutes les pièces en main, il en sera autrement dans d’autres circonstances. Réfléchissez !
A force de vouloir faire planer le doute sur ma prétendue malhonnêteté, c’est vous deux, finalement, qui vous déconsidérez. Après tout, si c’est votre objectif dans la vie, c’est votre choix.
Une chose encore : Le mot diffamation est employée de nombreuses fois dans le livre. Il faut savoir que le notion de diffamation, c’est un juge qui la décide. Si vous m’en croyez, demander à un… avocat.
P.S. : On savait qu’il y avait le cheval blanc d’Henri IV, on sait maintenant qu’il y a les W.C. blancs de Thierry Emmanuel Garnier. Ne saisissant pas l’humour de mon propos, il s’est insurgé que je dise que tout son habitat intérieur était noir. Las ! Il me prouve, photos à l’appui, que sa chambre et ses W.C. ont des murs blancs. Du coup, je me pose la question. Cette couleur immaculée partout, ne serait-ce pas pour compenser la noirceur de son âme ?