J’ai enfin lu cet ouvrage dont on me signale, depuis un mois, l’imminente parution. Comment manquer un tel évènement puisque, paraît-il, on y parle de ma petite personne à presque toutes les pages. Ubicumque.
Comment qualifier un livre qui me cite cent cinq fois, parfois plusieurs fois par page ? A ce stade obsessionnel, je dois hanter les jours et les nuits de Franck Daffos.
C’est moins l’affaire de Rennes qui le préoccupe que de m’en écarter par tous les moyens. Le procédé est si grossier, la stratégie si éculée, qu’il ne trompera personne, sinon ce petit cénacle dont il se réclame et dont il ne révèle qu’un seul nom. Faut-il qu’il ait quelque chose à redouter de ma part ? Il m’accuse de préméditer une publication inopportune et usurpatrice. Las ! Pour l’heure, il a déjà deux livres à son actif depuis 2011, à la prétention qu’il s’agit d’un travail de sauvegarde pour parer à mes dispositions prédatrices !
Qu’il ne compte pas sur moi pour me justifier quant à ses rodomontades, ses falsifications, ses silences assourdissants et ses grotesques tartarinades. S’il trouve quelques lecteurs pour ajouter foi aux sottises qu’il profère à mon égard, que ces mêmes lecteurs s’interrogent sur les raisons d’un tel livre ! De l’acharnement dont il fait preuve pour me discréditer !
Il peut toujours prétendre que je ne cesse de le calomnier sur Internet depuis cinq ans, il serait bien incapable de citer le moindre exemple à ce sujet. Aussi n’ai-je jamais parlé de lui en quelque circonstance dans mes écrits depuis 2011, aussi bien n’ai-je jamais abordé les thèmes liés à l’affaire du pech d’En Couty * .
Ce livre, Le trésor qui rend fou, est une mauvaise action. En dépit de mon « athéisme militant », jamais, pour quelque motif que ce fût, me saurai-je prêter à une telle bassesse, à me répandre en médisances et vaines méchancetés. Pour cette démarche de médiocrité intellectuelle, Franck Daffos s’est irrémédiablement disqualifié. Mais, surtout, il ne connaîtra jamais les accès du Goliath qui lui sont toujours inconnus. C’est dommage pour lui. Un peu d’observation et une astuce auraient pu, peut-être, les lui faire découvrir. Rendez-vous en 2017
* A l’exception d’une déclaration neutre et non offensive faite à Christian Doumergue et citée par lui dans Terre de Rhedae, en 2013. Je répondais au fait que Christian Doumergue avait fait état de circonstances spécieuses quant à mon communiqué de juillet 2011.