Sylvain Durif à l’Elysée !

Bonjour Michel Vallet,

Tu écris au sujet de Sylvain Durif : “Cet énergumène, connu sous le nom de « Grand monarque », « Christ cosmique » ou « Homme vert » est connu pour avoir prophétisé la fin du monde, en décembre 2012…”

Je te signale que l’affaire de la prophétie Maya du 21 décembre 2012 à Bugarach, ne provient pas de Sylvain Durif qui s’y est agrippé après coup, mais du maire actuel de Bugarach qui à l’époque à fait preuve d’une grande imprudence avec les journalistes…
Mais finalement, cette imprudence aura permis de faire connaître ce village dans le monde entier, et même peut-être au-delà dans d’autres mondes extraterrestres…

Et tant que je suis dans les informations, il te faut savoir que la grotte qui est représentée sur le petit haut-relief de Ste Marie-Madeleine sous l’autel de l’église de RlC, est la grotte du “Bugat” dont nous parle l’abbé Boudet dans la VLC…
Et c’est la face sud du Pech Cardou que l’on aperçoit en arrière plan sur cette peinture…
Abbé Henri Boudet La VLC : ” – 243 –
Du coté du levant, le cromleck n’est plus marqué que par les trois points de Cugulhou, de la Fajole et Montferrand, rejoignant ainsi le Col de Bazel contigu au Cardou. Toutes les pierres anciennement dressées à la Fajole sont aujourd’hui renversées, et ressembleraient à des blocs erratiques, si les angles vifs de ces pierres ne démontraient clairement leur primitive destination. Ces pierres levées étaient trop rapprochées des maisons et du village celtique pour qu’on pût les laisser sur pied, car elles étaient placées au-dessus du Bugat, partie du village gaulois où vivaient les habitants les plus pauvres. Une petite grotte ou caverne existe assez près des ménirs renversés de la Fajole : elle est située vers le nord et regarde Montferrand, – to fadge (fadje), convenir, – hole, creux, caverne, petit logement –…”

Donc, depuis cette grotte, on aperçoit le Pech Cardou avec une boule doré qui se situe presque au sommet du Pech Cardou, non loin des deux Cèdres implantés là par les abbés Boudet et Saunière…

Et maintenant, une petite histoire de mitoyen :

J’ai expliqué, sur le site de J-Cl. CARDOU, en janvier dernier ce qu’étaient les fameuses “pommes bleues” des prêtres de l’AA qui ont oeuvré avec les abbés Henri Boudet et Bérenger Saunière sur les multiples codages de notre énigme des deux Rennes…

J’y avais raconté que c’était une gentille mitoune qui, l’été dernier, m’avait susurré au creux de l’oreille, ce qu’était le mystère des “POMMES BLEUES”…
Et elle n’a pu comprendre ce mystère qu’après avoir lu le livre d’Herman TREIL : “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU, L’ÉNIGME”, dans lequel se trouvaient tous les ingrédients pour conclure et aboutir au lieu sacré du Pech Sardou…

Ce n’est vraiment pas très compliqué, et il ne s’agit en aucun cas de jeux de lumière provenant d’un vitrail de l’église de Rennes-le-Château, un 17 janvier !…

Il y a environ 25 ans, un ancien chercheur m’avait confié une grosse boite en carton (de la taille de deux boites à chaussures accolées) prélevée dans les années soixante dans ce qui est aujourd’hui la billetterie du musée et contenant différents documents de l’abbé Saunière sur une période limité. L’abbé Saunière remplissait des boites en carton avec ses archives journalières dans lesquelles se retrouvait tout ce qui arrivait dans sa boite aux lettres : courriers, publicités, relevés de banques, catalogue d’achat de vêtements, journaux financiers, etc. Rien de vraiment confidentiel dans tout cela, hormis les échanges de courriers entre Mlle Marie Dénarnaud et Mme Emilienne Salière qui avait été la concubine de l’abbé Alfred Saunière…

Dans cette boite, rien non plus qui pouvait avoir un lien ou donner un indice en rapport avec le secret ou les fouilles de l’abbé Bérenger Saunière… Ces documents-là étaient classés à part et, d’après Antoine Captier, à la mort de l’abbé Bérenger Saunière, l’abbé Rouanet (curé de Bages, non loin de Narbonne) était venu à Rennes tout enlever de ce qui devait rester secret… “TENET CONFIDENTIAM !”

Avant de restituer cette boite d’archives à la famille Captier et à l’Association Terre de Rhedae, j’avais récupéré une relique : un buvard de l’abbé Saunière, et un second document : il s’agit d’un bout de papier brouillon griffonné par l’abbé Bérenger Saunière et sans date (un peu comme une liste de courses alimentaires), sur l’abbé avait inscrit sa commande d’arbres et d’arbustes pour embellir le domaine de la villa Béthania.

Du fait de la fin des travaux dans le domaines, je pense que ces cèdres ont été commandés, réceptionnés et plantés vers 1904-1905, et Patrick Mensior a retrouvé le règlement de la facture des cèdres en septembre 1906…

Il est possible aussi, qu’à son habitude, l’abbé Saunière ait trainé pour effectuer le règlement de cette facture et son enregistrement sur son livre de compte…

Sur ce document qui est aujourd’hui égaré, il y a une chose curieuse : parmi diverses essences d’arbres et d’arbustes se trouvait une douzaine de cèdres, mais sur la douzaine de cèdres commandés par l’abbé Saunière, deux manquaient à l’appel, lorsque l’on comptait ceux qui se trouvaient dans le parc et dans les jardins de la villa et de l’église de RlC.

En fait, ces deux cèdres manquants ont été plantés ailleurs…
Ces deux cèdres furent plantés au sommet du Pech Cardou à Rennes-les-Bains !… et ils sont de même espèce, de même essence et de même circonférence que les autres cèdres plantés par l’abbé Bérenger Saunière dans le domaine de la villa Béthania et près de l’église ; Ils ont donc le même âge !…

La raison du détournement de ces deux arbres a un fondement biblique et crée enfin un lien entre l’abbé Bérenger Saunière et l’abbé Henri Boudet. Mais il existe bien d’autres liens entre ces deux curés, par exemple entre le contenu du livre “La Vraie Langue Celtique…” et la décoration de l’église de Rennes-les-Château :

Ézéchiel 17, 22-24 :
Ainsi parle le Seigneur Yahvé : Moi, je prendrai à la cime du grand cèdre, au plus haut de ses rameaux je cueillerai une jeune pousse et je la planterai moi-même sur une montagne élevée et altière. Sur la haute montagne d’Israël je le planterai. Il poussera des branchages, il produira du fruit et deviendra un cèdre magnifique. Toutes sortes d’oiseaux habiteront sous lui, toutes sortes de volatiles reposeront à l’ombre de ses branches. Et tous les arbres de la campagne sauront que c’est moi, Yahvé, qui abaisse l’arbre élevé et qui élève l’arbre abaissé, qui fait sécher l’arbre vert et fleurir l’arbre sec. Moi, Yahvé, j’ai dit et je fais.

ET VOICI LE MYSTÈRE DES “POMMES BLEUES” EN PASSE D’ÊTRE IMMÉDIATEMENT ÉLUCIDÉ…

Les deux cèdres plantés au sommet du Pech Cardou par l’Abbé Saunière, nous éclairent sur le mystère de ces fameuses “POMMES BLEUES” qui apparaissent dans le décodage du grand parchemin attribué à l’abbé Bérenger Saunière, et donnant la formule :
“BERGÈRE PAS DE TENTATION QUE POUSSIN TENIERS GARDENT LA CLEF PAX DCLXXXI PAR LA CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU J’ACHEVÉ CE DAEMON DE GARDIEN A MIDI POMMES BLEUES”

LES “POMMES BLEUES” SONT EN FAIT LES FRUITS DES DEUX CÈDRES BLEUS DU PECH CARDOU !…

Les fruits des cèdres sont des cônes dressés, les “POMMES DES DEUX CÈDRES BLEUS” !…

Donc, il faut se tenir au sommet du Pech Cardou, près des vestiges du cercle de pierre de Benjamin de Natt, et regarder en direction des deux cèdres tout proches, à quelques dizaines de mètres, c’est-à-dire qu’il faut regarder à MIDI, c’est à dire vers SUD//SUD-OUEST !…

En connaissant le fondement biblique de cet acte prophétique, il vous faut essayer d’en comprendre la raison et le but final…

En attendant de grimper sur le Pech Cardou, il faut essayer le satellite de l’Atlas des patrimoines, avec le 1/1000 pour échelle…

Au sommet, on distingue bien les deux cèdres bleus imposants et d’un vert-bleu bien différent du vert de la végétation environnante…

Depuis ma première annonce de l’été dernier, j’ai été contacté par un chercheur qui a confirmé ma déclaration de cette découverte, en me fournissant une nouvelle preuve étonnante et indiscutable sur l’importance de ces deux arbres plantés par l’abbé Saunière…
Je ne connaissais pas cette nouvelle preuve que nous sommes aujourd’hui quatre chercheurs à connaître…
J’espère qu’il sera bientôt autorisé à vous montrer cette preuve dont il n’est pas propriétaire…

L’essentiel est surtout de comprendre et d’admettre comme une vérité indiscutable que l’abbé Saunière a bien planté deux cèdres au sommet du Pech Cardou…
Ce qui explique le mystère des “POMMES BLEUES” qui sont en fait les “POMMES DES DEUX CÈDRES BLEUS” …

En connaissant le fondement biblique de cet acte prophétique, il vous faut essayer d’en comprendre la raison et le but final…

En attendant de grimper sur le Pech Cardou, il faut essayer le satellite de l’Atlas des patrimoines, avec le 1/1000 pour échelle… Au sommet, on distingue bien les deux cèdres bleus imposants et d’un vert-bleu bien différent du vert de la végétation environnante…

Je vous signale aussi en passant que l’abbé Henri Boudet a fait couper un troisième arbre, qui n’est pas un cèdre, pour retarder la découverte du lieu sacré de Théopolis…

Et ce matin, un autre ami qui n’est pas chercheur dans nos mystères, m’a annoncé qu’un père capucin, originaire de st Martin-de-Seignanx, près de Bayonne, et enterré à Carcassonne, lui avait confié une prophétie qui lui avait été révélée par deux sources différentes, dont une pèlerine française de San Damiano près de Plaisance en Italie…

” Il arrivera un temps où un fort tremblement de terre ouvrira une montagne dans les Pyrénnées, et à partir de ce moment, tous les mystères de la Création seront révélés… ”

Aller jeter un oeil à la fin du chapitre 11 de l’Apocalypse de Saint Jean…

A vous de jouer maintenant pour la course à l’échalote…

Que le meilleur gagne, mais attention aux pièges et aux yeux…

Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa