Cité par l’abbé Boudet, dans sa Vraie langue celtique, en trois occasions, pp. 128, 234 et 241, Constantin Cailhol est toujours resté une figure obscure malgré les recherches de quelques-uns. Sinon, peut-être, qu’il était avocat.
Le qualifiant d’explorateur, le curé de Rennes-les-Bains signale que M. Cailhol fouilla la grotte de Bize, dans le Minervois; mais aussi, récupéra une antéfixe, dite “Tête du sauveur”, détachée des roches bordant le Cap d’ Homme, ainsi qu’ un fragment de meule que les ouvriers, qui oeuvraient à l’élargissement de la route Rennes-les-Bains/Sougraigne, avaient trouvé à hauteur de la Borde-Neuve.
Désormais, on en sait davantage grâce à la trouvaille de Michel Azens, relativement à un article paru en 1877 dans Les Mémoires de l’Académie Royale des sciences, inscription et belles-lettres de Toulouse.
Je laisse le lecteur se reporter à la page que Michel Azens vient de lui consacrer sur son site Sudinsolite
Il a d’ailleurs poursuivi ses recherches en indiquant bien la profession d’avocat qu’exerçait Constantin Cailhol et désigner l’agréable demeure qu’il habitait à Alet-les-Bains, lors de ses villégiatures.
Il n’est rien de cacher, qu’un jour l’on découvre…