Il y a quelques jours, suite à un “scoop” de Franck Daffos au sujet d’une certaine photo de l’abbé Gazel, j’avais effectivement rendu compte que Didier Héricart de Thury m’avait remis un document provenant des pages iconographiques d’un livre *.
Ce livre, j’en ignorais le titre et la date de parution. Par la suite, j’ai glissé cette illustration dans une enveloppe et n’en ai plus fait cas. D’ailleurs, à l’occasion de cette polémique née artificiellement, je n’ai même pas recherché ce document qui se trouve sans doute parmi d’autres papiers.
Comme je ne fais mystère de rien et n’ai pas de stratégie revendicatrice, j’ai volontiers validé la date du 5 mai 2011. C’est probablement vrai, ne tenant pas de journal de bord comme le faisaient mes deux acolytes. Mais, si j’en juge par l’effet que cela a produit, je me demande si cette date n’est pas aussi décisive que celle de Waterloo. Lorsque je lirai son livre, je prendrai certainement connaissance de l’ampleur de mon indignité !
Voici maintenant que Franck Daffos reconnaît que l’identification était sujette à caution et qu’il s’en remets aux déductions d’un chercheur qui ne s’en ait pas laissé compter, Francis Attard. [Voir notre rubrique “Les Dossiers”]. L’abbé Gazel en question n’est pas celui qui écrivait à l’abbé Saunière. Il n’empêche que Daffos sort satisfait de ce revers, à savoir que cela lui a permis de me voir confirmer cette date du 5 mai 2011. C’est probablement l’équation du carré magique.
* Au fait, ce matin-là, Franck Daffos m’a proposé un café tiré de son thermo.