Cette voiture Citroën est emblématique des années Buthion, au moins jusqu’à la fin des années 70.
Elle apparaît en stationnement sur le terre-plein devant la grille du domaine. Des cartes postales l’ont ainsi immortalisées.
En 1973, alors qu’elle n’était plus en état de circuler, elle servit de cible pour les tirs d’une arme automatique.
Cela a permis d’épiloguer sur la dangerosité de s’approcher de trop près des mystères de Rennes.
Gérard de Sède en fut de son couplet à cet égard dans Signé Rose+Croix, paru en 1977.
En fait, c’est François Buthion, le fils de Henri Buthion, qui s’était diverti en se prêtant à cet exercice.
Peut-être fin 70, début 80, ce véhicule disparu du paysage. En fait, il fut poussé dans le ravin, à une cinquantaine de mètres du château d’eau (construit vers 1972).
L’épave de la DS est, désormais, comme fossilisée, minéralisée, complètement enchevêtrée dans les arbustes. En bordure du ravin, elle n’est absolument pas visible. On ne devine même pas sa présence.
Quelques chercheurs ont toutefois tenté l’exploration. Ainsi, Tony Bontempi, avec l’aide de Stéphanie Buttegeg, a pu récupérer la plaque du moteur.
Il en est de même du Suisse Hugo Soder qui, lui, en a retiré un bas de porte.
Ouverture sur cette chasse aux trophées… VOIR