Aux dires de certains commentateurs rhédésiens, la fortune de Nicolas Fouquet ne devrait pas tant à des malversations liées à son statut de Surintendant des Finances, qu’à l’opportunité d’un trésor dont l’existence lui aurait été révélée par le peintre Nicolas Poussin.
Relayée depuis bientôt quarante ans dans divers ouvrages consacrés à l’affaire de Rennes, cette hypothèse m’a toujours laissé incrédule. Si les arguments des uns et des autres ne manquent pas d’intérêt, il est très difficile de se forger une conviction définitive.
Découvrant récemment un ouvrage sur Colbert, paru voici vingt-cinq ans, son auteure, Inès Murat, se prévaut d’avoir profiter d’une documentation inédite grâce à sa parenté avec l’ancien ministre louiquartorzien.
Or, un chapitre consacré à l’affaire Fouquet met en lumière un certain nombre d’éléments bien différents de ceux que l’on nous gratifie habituellement. J’ai donc rédigé un petit compte-rendu que l’on peut lire sur notre site tresor-Rennes-le-château.net, sans arrière pensée, sinon celle d’alimenter le débat.
Mais, je découvre que s’écarter du dogme n’est pas sans risque. Un certain Hercule (de son vrai nom Raymond Sagarzazu), bien connu des forums spécialisés (dont il est régulièrement blacklisté), s’est très rapidement récrié de mon ignorance et de mes insuffisances livresques. Particulièrement, il me reproche de ne tenir aucun compte d’un livre paru en août dernier, intitulé : Code AA. Rennes-le-Château : l’énigme.
Lancé à son de trompe par lui sur les réseaux sociaux, il n’en est pourtant pas l’auteur. Néanmoins, il y a contribué par ses conseils et sa documentation.
Ce n’est pas la première fois qu’Hercule me fait grief de passer outre cet ouvrage, mais pour le coup sa réaction fait preuve d’une telle intolérance que je voudrai y répondre.
Dans un petit exposé, j’ai déjà donné mes impressions concernant ce livre. Chacun est libre d’écrire ce qu’il veut; le lecteur est libre d’avoir son propre ressenti. Or, ce livre ne m’a rien appris pour la simple raison qu’il n’apporte rien de nouveau.
L’auteur se contente de superposer des éléments lus ailleurs, qu’il dispose en fonction de l’objectif qu’il s’est fixé. Sa façon de tout réduire à la numérologie et d’en restituer un mot-clef n’est aucune une méthodologie d’historien.
Pour la question qui nous occupe : l’affaire Fouquet, l’argumentaire est par trop indigent !
Nous sommes entre Douzet et Daffos. L’auteur reprend une à une les vieilles antiennes concernant saint Vincent-de-Paul, Notre-Dame de Marceille et Mgr Pavillon. Ne nous sont épargnés ni le berger Paris, ni l’épisode du Bézu, ni la montagne enchantée des moines-vaudous. Moins encore les dix-huit millions du diable à Blanchefort.
L’auteur est persuadé qu’en citant toutes ces fariboles bout à bout, cela constitue une preuve indéniable. Il nous refait volontiers le coup du diamant “gros comme un oeuf de pigeon”, la pluie d’or de Loret et la fameuse lettre de Louis Fouquet à son frère le Surintendant. Le tout sans citer personne et agitant les ciseaux d’Anastasie quant aux mentions mises en exergue.
A mon sens, il y a quelque chose de psychanalytique – voire de psychotique, à publier un livre de 900 pages pour expliquer que l’on fait des recherches sur une montagne. De dire laquelle et d’expliquer que l’on est à la veille de trouver. Pourquoi un tel prosélytisme ? Si non dans un but de réconfort infantile, sollicitant un soutien moral du lecteur pour une cause dont on est peu assuré de sa légitimité.
Ce n’est pas un cas unique dans cette affaire de Rennes, mais la réaction et les propos d’Hercule à mon sujet rendent cette attitude particulièrement pathétique.
Bonjour Michel,
Toujours en forme, même après avoir survécu à la rupture de cette relation en triplette avec Daffos et Héricard de Thury…
Quel affaire ! avoir ameuté la France entière jusqu’à TF1 pour avoir découvert un rocher bizarre en forme de cuvette de WC…
Pour lequel en plus, tu nous as fait un gros chantage médiatique au suicide… Es-tu bien certain que c’est moi qui suis pathétique ?…
Permets-moi d’en douter un peu !…
Mais en attendant, une chose est certaine !…
C’est que votre trouvaille extraordinaire du “Pech d’en Couty”, où je n’ai pas même pris la peine d’aller m’y promener a fait un gros flop…
Un vrai trio de clowns : Héricard dans le rôle du clown blanc et ses deux comparses, clown Caramel et clown Chocolat… C’était désopilant !…
Et puis cette tirade, du 31 Août 2011, tellement pathétique qui a fait trembler d’angoisse le mundillo castelrennais…
Et dire que c’est moi qui ai réussi à faire échapper Daffos… Je t’ai tout simplement évité un procès et même pire !…
Mon Dieu, pauvre de toi ! heureusement que le ridicule ne tue pas…
Mais dis-moi, Maintenant que tout le monde sait qu’il n’y a rien au Pech d’en Couty…
Mets-tu en doute que le trésor de Rennes-les-Bains se trouve dans le Pech Cardou ?…
Puisque tu affirmes avoir lu le “Code AA RLC…”, je désire que tu t’engages sur ce forum…
OUI ou NON, selon toi et ta grande expérience, le trésor des deux Rennes se trouve t-il dans le Pech Cardou ?…
J’aimerai même un sondage pour connaître l’avis des gens…
Pour terminer, j’aimerai aussi que tu supprimes mon nom de ton site, et je te le demande de manière publique…
Bonne recherche.
Hercule
Cher Ramuntxo,
Je ne pouvais espérer réponse plus appropriée. Vous devez connaître cette tirade : “Ne demande pas pour qui sonne le glas, c’est probablement pour vous”, elle illustre très bien cette situation dans laquelle vous vous êtes mis. Avec bravade, vous vous donnez un rôle que vous n’avez jamais eu ; c’est facile de le faire croire. N’étant jamais revenu publiquement sur cette affaire, vous n’en avez recueilli que des miettes. Mais, peu importe…
Je remarque tout de même que vous ne répondez pas sur le fond de mes objections, à savoir votre documentation de pacotille et ce procédé de décryptage par la numérologie absolument inopérant.
Vous me mettez au défi de confirmez si, OUI ou NON, le pech d’En Couty a toujours ma faveur ? Ma réponse est OUI. Etant seul sur cette recherche depuis cinq ans et voulant le rester, je ne pouvais pas brûler les étapes. Mais, 2015 a été une année décisive. Je prépare d’ailleurs un petit volume qui laissera chacun libre de se faire une opinion. Il n’est pas certain, qu’à la suite de cette publication, ” l’Enigme” de Rennes-le-Château soit aussi attractive. Mais il faut être “à l’intérieur” pour comprendre les choses. D’ailleurs, demandez-vous pourquoi j’ai créé ce site Internet en décembre dernier…
Bien sûr, faites toutes les sondages que vous voudrez pour savoir si une montagne plutôt qu’une autre à les faveurs d’une majorité, ce serait d’ailleurs divertissant à défaut d’être inutile. Cela dit, votre comparaison avec l’entrée du “goliath” m’a beaucoup amusé, elle est à l’aune de vos désidératas.
Meilleures pensées.
“CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU, L’ÉNIGME…” d’Herman TREIL.
Rien de nouveau dans ce livre !”, parait-il !!!
On voit bien là à quel point cet ouvrage dérange le Panthéon des perdants magnifiques des mystères de Rennes-le-Château & Rennes-les-Bains…
A la lecture du courrier des lecteurs reçu par l’éditeur, ce n’est certainement pas là l’avis des lecteurs, mais uniquement celui d’un petit syndicat d’auteurs décoiffés par l’ouvrage, vexés de ne pas trouver leurs noms inscrits dans une bibliographie ou dans les chapitres et notes de l’ouvrage…
Effectivement, l’auteur n’est pas un expert dans le maniement des sextoys !…
Mais il semble beaucoup plus à l’aise dans le maniement des trois langues bibliques et dans la découverte de documents anciens de l’Eglise dont précisément de ceux de la société sacerdotale intitulée l’AA…
Il n’y a aucune numérologie dans cet ouvrage qui reprend les travaux codés de prêtres des siècles passés, travaux qui n’ont rien à voir non plus avec la guematria des Kabbalistes…
Il y a juste la mise en évidence d’une certaine équivalence d’un code spécial utilisé par des prêtres de l’AA qui viennent conforter les arguments inédits solidement développés par l’auteur…
Après être entré dans le secret de l’Eglise, Herman Treil nous donne une lecture absolument inédite d’oeuvres bien connues, entre autres :
– le fameux “ET IN ARCADIA EGO” des “Bergers d’Arcadie” de Nicolas Poussin ;
– l’escriture D.M. de Michel Nostradamus ;
– le mot de passe de la dive bouteille de Rabelais : “TRINCH”…
Mot souvent cité dans les articles qui gravitent autour de l’affaire de Rennes-le-Château, mais jamais réellement bien interprété…
Et bien d’autres documents encore totalement inédits…
Michel Vallet, je ne te considère pas comme un auteur médiocre, bien qu’il y aurait beaucoup à dire sur certaines de tes fragilités psychiques, psychologiques et morales, mais, comme je l’ai déjà indiqué, juste comme l’adhérent d’un petit syndicat local d’auteurs décoiffés par ce véritable travail de bénédictin…
Vu l’accumulation de formules, de qualificatifs et d’épithètes, dans l’article de Michel Vallet, pour essayer d’écarter le lecteur de la lecture de cet ouvrage, il faut croire que cet ouvrage a vraiment des raisons de te gêner… ainsi que quelque autre auteurs…
Et c’est là la vraie question…
Si besoin est, nous développeront prochainement le chapitre des sextoys, ou ton idylle malheureuse avec Franc Daffos…
J’ai conservé toutes les archives de cette époque… Mais je crains que cela ne réveille chez toi de trop grandes souffrances…
Ce dialogue pathétique pourrait ainsi durer jusqu’à l’infini avec un chercheur-auteur-éditeur aussi désabusé que toi, et marqué d’un peu de jalousie…
mais les véritables lecteurs, ceux de la Vox populi qui ne s’y trompent pas, ne sont pas tendres avec des censeurs frustrés tels que toi…
Meilleures pensées et UdP en JMJ.
P.S. J’ai bien noté ton obstination pour le Pech d’en Couty…
Décidément, tu restes désespérément accroché au passé, incapable de relever la tête et de nouveau défits … c’est bien dommage !…
Cher Ramunxto,
Tout d’abord, je vous ferai remarquer que si vous pouvez vous exprimer ici, c’est que je le veux bien. Il m’est facile de supprimer vos posts et même de les refuser. Je ne suis pas sûr que les rôles inversés, vous vous montriez aussi libérale.
Je passe outre vos propos fielleux qui montrent un désarroi intellectuel compte tenu que vous êtes en pleine vacuité, mais surtout vous faites preuve d’ une forme d’autisme lorsqu’on vous oppose un point de vue différent du vôtre. Vous trépignez qu’on ne pense pas comme vous. Vous en appelez volontiers à je ne sais quel auditoire, mais vous êtes devant des chaises vides, il n’y a personne dans votre théâtre de guignols. Vous dites que je suis jaloux, mais jaloux de quoi ? De vous ? De vos balivernes ?
Vos acrimonies sont à l’aune de la vexation subie lorsque votre ami, Patrick Mensior, vous a lâché au milieu du gué en mars dernier. Quelle ingratitude, il est vrai. Vous lui aviez servi de pare-feu si souvent. Mais la nature humaine est ce qu’elle est.
Pour ma part, je vous fais le pari que dans dix ans vous serez encore à batailler, hurlant au loup sur votre montagne :
CARDOOOOU !!!
Désormais, je siffle la fin de la récréation. Je retourne à mes activités et vous, à votre bac à sable.
Au fait, défi s’écrit sans t. C’est confit qui s’écrit avec un t, comme vos idées… confites
Sacré Michel,
Je ne l’avais pas vu celle-là… Mais que veux-tu, j’écris vite et ton site ne permet pas les corrections de nos textes…
Mais il est vrai que ce n’est pas bien grave parce que nous ne sommes pas très nombreux à y intervenir…
Il y a bien d’autres manières d’interpréter ma faute d’orthographe : incapable de relever la tête et de nouveau “défait” !…
Ou alors prendre le mot défi dans le sens de l’ultime croisade que tu auras à vivre, en rajoutant le “Tau” qui symbolise la Croix du Christ, qui est aussi le signe annoncé dans l’Ancien Testament pour le temps des élus qui seront marqués au front du “Tau”, le signe de la rédemption en opposition à tous ceux qui seront marqué au front et sur la main du signe de la bête, le terrible “666” qui t’envoie direct en enfer…
Merci d’y méditer…
Et au fait, as-tu enfin pu lire le “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU” d’Herman Treil en dépassant le fait que tu n’es pas cité dedans…
Parce qu’il ne faut pas avoir honte facilement pour écrire de telles stupidités : si tu ne respectes pas le travail d’autrui, tu ne mérites pas d’être toi-même respecté… Ce n’est pas plus compliqué que cela !…
Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa
Vous faites pitié les gars, on dirait deux chiwawas se battant pour un os … en plastique …
Réveillez-vous , toute l’affaire de RLC est bidon
Bonjour à tous,
Nous y voilà ! Monsieur le Marquis Debrou de Blanchefort se plaint à qui veut l’entendre parce que le Pech Cardou, à Rennes-les-Bains, pullule de chercheurs qui creusent et font des trous en tous sens …
Mais, une ou dix mines de plus ou de moins en ce lieu minier et sauvage, transpercé de toutes parts et chargé d’histoires de fondeurs, qui cela peut-il gêner hormis les lapins, les lièvres et les sangliers ? …
Cette affluence locale et la conjoncture mondiale sont les signes que la découverte du lieu mystérieux et sacré tu temple rond est très proche … Il est même pour l’instant tout à fait inutile de creuser … Il faut seulement se creuser un peu la tête pour ceux qui ont de la jugeote…
Mais attention ! car cette entreprise présente un certain danger à se remémorer en relisant Nostradamus …
Et dès que le lieu sera découvert, cela provoquera un cataclysme spirituel par le rejet temporaire du Christ pour laisser la place à l’antéchrist (dont me père semble être un Évêque émérite français) puis à une troisième guerre mondiale …
Voici l’interview récente d‘une âme privilégiée, Débora la stigmatisée de Manduria en Italie, qui soulève une partie du voile de la Fin des Temps qui n’est pas la Fin du Monde, mais uniquement un Temps d’épreuves et de purification de toutes choses …
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Révélations Inédites pour notre temps
INTERVIEW à DÉBORA (stigmatisée / Manduria – Italie)
du Professeur Walter Salin.
(2020-10-09)
Prenons un siège confortable et ouvrons notre petit cœur d’enfant de Dieu car beaucoup de révélations nous sont transmises par notre sœur Débora de Manduria qui a accepté d’accorder cette entrevue afin de nous aider à avancer en eaux troubles…
Depuis 1992, Notre-Dame vous apparaît comme la Vierge de l’Eucharistie, un événement singulier et prophétique à la lumière des temps dans lesquels nous vivons. Que pouvez-vous témoigner à ce sujet ?
Oui, j’aimerais répondre succinctement, même si je ne pense pas en être capable. En effet, quand le Seigneur envoie Notre-Dame nous apporter un Message et nous parler avec son Cœur maternel, c’est toujours pour nous révéler une évidence. Au cours des siècles passés, toute intervention de la Mère de Dieu a toujours eu lieu en rapport aux problématiques temporelles qui, s’immergeant dans les problèmes spirituels, constituaient un « tout un » par rapport au projet Divin. Il est clair que le Seigneur envoie la Corédemptrice qui, avec cette glorieuse appellation, nous donne une clé précise de lecture : « Je suis la Vierge de l’Eucharistie », Vierge parce qu’elle est la Mère de toutes les consécrations et de l’Eucharistie en vertu du fait que la réalisation du plan salvifique entre dans cette réalité, assurément dogmatique et que nous, par la foi, nous acceptons.
C’est en vertu de l’adoration que le peuple offre au Saint Sacrement que nous serons tous pesés sur la balance du Père Éternel. Il est alors évident, comment la Vierge Mère, ayant porté ce Pain Très Saint dans Son sein avant même que ne soit réalisée la transsubstantiation, Elle célébrait ce Dieu vivant et vrai. Il est donc évident qu’elle vient à nous, pour nous dire : « Mes chers enfants, si vous vous sentez perdus, c’est parce que vous vous êtes éloignés de votre Source. » Tant que nous ne retournerons pas au Christ, que nous ne nous agenouillerons pas en le reconnaissant comme notre Seigneur travaillant dans les familles, dans les réalités temporelles (où il prend vraiment soin de nous si nous comptons avec amour sur Lui), nous ne trouverons ni la paix ni la santé. Cette progressive perte de la foi produira un bouleversement incroyable dans le peuple.
Dieu a fait un projet sur nous, en voulant que nous allions à Lui : « Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et opprimés » et où pouvons-nous aller pour chercher notre réalisation si ce n’est auprès Christ lui-même ? Qui peut nous donner les réponses ? Du fait d’avoir évincé l’Amour Eucharistique du trône, l’avoir défenestré, l’avoir mis de côté, équivaut (comme s’il s’agissait d’une équation mathématique) de le sortir de nos vies, avec des conséquences inimaginables et tout cela est sous nos yeux. Sans Jésus Eucharistie notre foi devient pauvre et nous n’avons plus la force de produire la beauté, la richesse, la sainteté.
Cela s’applique aussi au sein de l’Église et des vocations, au sein de toute réalité charismatique, hiérarchique, prophétique, en toute chose et partout. Avoir mis Jésus hors de nos réalités terrestres, cela équivaut à dire : « Tu restes assis dans les cieux et nous restons de l’autre côté, parce que nous sommes les acteurs de nos vies ». Cela ne peut être que stupide ! Au contraire, nous trouvons une pleine réalisation si nous nous comportons selon la Volonté de Dieu, mais au moment où nous affirmons une individualité qui exclut Ses projets, voici que même les « pierres milliaires » viennent à tomber, le Sanctuaire s’effondre, tout s’effondre ! S’effondre même la civilisation que nous avons créée pauvre en essence d’humanité, où il n’y a plus ni dignité, ni valeurs, ni sens de la Patrie.
Jésus Eucharistie nous ramène à ce rêve de Dieu quand il regardait avec ses yeux humains le Père céleste, alors qu’il vivait sa vie terrestre. Nous qui faisons le voyage sur terre, nous ne pouvons rien faire d’autre que d’être serviteurs de l’Eucharistie, fils de l’Eucharistie, amis de l’Eucharistie. Sans Jésus Eucharistie, nous sommes comme des molécules devenues folles dans un liquide qui se disperse.
En 2022 on célèbrera le 30e anniversaire de la première Apparition de Marie, Vierge de l’Eucharistie à Manduria. Cette date a-t-elle un sens eschatologique quant à l’avenir du monde ? Et par rapport à l’échiquier géopolitique actuel, qu’est-ce que la Vierge Marie t’a laissée entrevoir ?
Oui en 2022, cela fera 30 ans depuis le début des premières Apparitions de Marie. Je ne sais pas en quoi cela pourra influencer l’avenir, mais il est sûr que Notre-Dame nous a promis un temps de paix rétablie. Bien évidemment, comme cela s’est déjà produit, quelqu’un est venu me voir et m’a demandé : « Mais les choses que la Dame a dit pendant cette longue période, allons-nous les voir se réaliser ? » Et j’ai répondu « Bien sûr, que nous les verrons accomplies, mais les verront surtout nos enfants qui se trouveront dans un contexte historique très, très spécial. Moi, je l’appelle « temps sauvage » parce que l’homme, ayant perdu le sens de la vie spirituelle et surnaturelle, aura aussi perdu la foi, comme il est écrit : « Il n’y aura plus de foi sur terre, sauf dans quelques cœurs. »
Alors les créatures devront s’affronter sur tous les plans, et dans cette situation se vérifieront les paroles déjà prononcées par la Dame et nous savons qu’il n’y a pas de changement, pas de révolution, si ce n’est dans la douleur, la pénitence, le sacrifice et le sang parce que, si nous nous préparons bien, nous serons en mesure d’affronter les épreuves de manière digne.
Ces épreuves existeront et elles auront lieu au cours de nos vies. J’ai déjà eu l’occasion de dire dans le passé que nous les annoncerons (nous confidents) en temps voulu. Certainement de façons et avec une succession différente, parce qu’il y a d’autres endroits qui ont eu des révélations et des secrets. Ceci ne veut pas dire qu’à Manduria se produiront les mêmes choses qui pourront arriver à Medjugorje ou à Garabandal, si ce n’est les choses globales. Il y aura des situations et des conséquences différentes, mais en fin de compte les événements qui arriveront ne serviront qu’à une grande préparation, car le monde étant arrivé à la croisée des chemins, devra faire un choix, il devra s’ouvrir au Christ ou servir l’Antéchrist, en suivant le Nouvel Ordre Mondial qui veut imposer des règles bien précises et des idéologies trompeuses. Il est donc clair que ces 30 années forment un moment important pour lequel tout le monde devra faire un choix, interrogé à la fois par les grands événements, mais aussi par des signes non joyeux. Il est écrit, et nous le vivons, que « la terre viendra en aide à la Femme qui est dans le désert » (Ap.12,1-16).
Par conséquent les glissements de terrain, les tremblements de terre, les situations terribles dont nous serons de plus en plus témoins, nous parlent de Dieu.
La terre nous parlera de Dieu. Sûrement nous parlera de Dieu la fonte des glaciers, l’axe de la Terre qui a subi un déplacement important, les nouveaux phénomènes volcaniques, les zones terrestres qui émergeront et d’autres qui disparaitront sous l’eau, nous parlera de Dieu tout ce qui a été la conséquence de la bestialité humaine jusqu’à l’exploitation totale des territoires avec la mort de tant de créatures, nous parlera de Dieu la crise, parce que nous reviendrons au charbon après que nous avons drainé tout le pétrole.
Aussi verrons-nous des choses terribles et choquantes parce que, pendant que les conflits entre États se déclencheront, de nouvelles catastrophes nucléaires se produiront.
Ne pensez pas qu’elles soient loin : Prague, Prague, Prague sera un nouveau Tchernobyl !
Même les phénomènes de la variation de la température nous laissent déjà entrevoir la souffrance de notre mère la terre, qui ne doit jamais être comprise comme détachée du langage spirituel, sinon nous serions des idolâtres, parce que penser à la terre comme si elle avait un esprit à part, nous conduirait à une écologie stérile et idolâtre. Pas même saint François a prêché cela.
Nous devons regarder la souffrance de la nature que nous exploitons en bouleversant l’équilibre normal dont elle a besoin pour survivre et nous donner ce dont nous avons besoin. Ainsi, tout ce que nous faisons subir en mal à la terre va inévitablement se retourner contre nous (comme l’élargissement des océans en raison de la fonte de la glace, etc.). Tout cela, non seulement à cause d’un facteur climatique, mais aussi à cause de l’exploitation exagérée des matériaux, entraînant la pollution de l’air (voir le trou d’ozone), a fait en sorte que tout ce qui aurait dû être disponible pour 2, 3, 4,5 siècles a été pratiquement aspiré. C’est pourquoi nous allons revenir en arrière et entrer en conflit les uns avec les autres, puis entre les États.
L’Amérique entrera aussi en guerre, mais elle sera forcée d’abandonner le conflit, étant obligée à se retirer en raison d’une série de catastrophes naturelles. En particulier, il s’agira d’ouragans violents d’une ampleur sans précédent, qui frapperont ses territoires, ces événements forceront l’armée américaine à revenir pour s’engager avec son propre peuple, alors au bord de l’épuisement. Je voudrais encore ajouter que l’homme sera de plus en plus égoïste, ayant refusé à Dieu la prérogative de nous donner le conseil et la suprématie de la Divine Illumination. Pour avoir oublié Sa seigneurie et profané Son sanctuaire, nous serons obligés de faire des considérations sur le résultat de ce que nous serons vraiment en mesure de faire, car confus par des puissances néfastes dans la pensée et dans le cœur.
Encore une question très importante : Quelle est la position de l’Église en ces temps riches de problèmes et de contradictions ? Pourriez-vous également établir une frontière temporelle pour nous aider à faire un lien entre guerre mondiale, effondrement économique, crises, épidémies, émeutes internes, avertissements et secrets ?
Vous demandez bien des choses… dans tous les cas, ce qu’on peut dire en référence aux messages que Notre-Dame nous a donnés, c’est le fait que la guerre mondiale est vraiment à nos portes, mais avant qu’elle ne se déclenche, il y aura des signaux, comment vous dire, des sonnettes d’alarme qui feront en sorte que les veilleurs, comme les Vierges Sages, soient alarmés et puissent comprendre.
Tout d’abord la guerre au Moyen-Orient, celle qui n’est pas encore en cours mais qu’on tient immobile, immobile comme sur le fil du rasoir et je parle d’une vraie guerre entre l’Iran, la Turquie et la Grèce, avant qu’elle n’arrive aux portes de Jérusalem. Cette guerre aura lieu très bientôt et commencera après la mort d’une tierce personne, d’un haut gradé, d’une personne haut placée dans l’ordre militaire, elle sera décidée autour ou au-delà des Balkans, après quoi les Russes viendront et se heurteront à une grande force, y compris celle américaine.
Avec le temps la Russie envahira l’Europe, laquelle voyant que les Russes sont arrivés dans les territoires orientaux (ils sont déjà prêts avec des sous-marins et bien d’autres moyens) de manière particulière la France et l’Allemagne, se diront que si les Russes sont arrivés, eux aussi peuvent y arriver. Par conséquent, à cause de stratégies politiques non illuminées, celles-ci penseront qu’elles peuvent faire des affaires elles aussi, alors se réaliseront une sorte de conflit dans le conflit qui préparera la grande guerre.
Donc, le premier secteur sera celui au Moyen-Orient. Dans les territoires proches à la Turquie entre l’Iran, etc., etc. Concernant les questions relatives aux révolutions et aux crises économiques, je prévois qu’il y aura déjà en octobre et au cours de l’hiver une forte crise du genre financier : beaucoup perdront leur emploi et il y aura un appauvrissement, avec des épidémies non seulement du coronavirus (qui en attendant connaitra une mutation) mais aussi d’un autre genre et celles-ci augmenteront.
A cause de cela, il y aura ceux qui fuiront pour acheter des vaccins (qui seront peut-être d’aucune utilité) et ceux qui auront peur de faire face à la réalité, car naîtront des querelles autour des nouvelles formes virales et tout cela rendra les hommes de plus en plus pauvres.
Il y aura aussi une crise sociale : France, Allemagne, Angleterre. La France précédera d’abord l’Italie et quand elle commencera en Italie peut-être 2 ou 3 ans auront passées avant que cela ne touche l’Allemagne et l’Angleterre (je ne peux pas être plus détaillée). En Italie, il y aura une émeute comme l’a dit Notre-Dame, « une grande et triste révolte » et c’est au cœur de celle-ci que nous verrons des absurdités. Nous serons à nouveau conquis et dominés par les communistes. Seront sans aucun doute au pouvoir des communistes chinois et même un certain type de communisme bolchevique se laissera entrevoir, mais il faudra voir comment les deux forces vont se structurer dans le monde politico-social.
Après quoi il y aura l’avancée musulmane, une horde qui viendra par le sud, mais aussi à travers beaucoup de cellules déjà présentes sur le territoire du sud et je parle de Naples, Rome, je parle de la Pouilles (siège de collaborateurs terroristes), en particulier la terre où Notre-Dame nous a souvent interpellé parce que ce « feu en Méditerranée » ne s’allumera certainement pas de lui-même. Il faut savoir que des cellules cachées (parfois liées à la mafia dans le trafic d’armes et de drogue) œuvrent à l’intérieur de notre Sud, prête à éclater et à rejoindre ceux qui se préparent, comme un archer fort, comme une armée déployée, pour lutter contre nous et c’est à ce moment-là que nous verrons le meurtre de nombreux prêtres, y compris le Pape, malheureusement.
En Italie, cette révolte durera moins d’un an, mais nous serons pris entre la tyrannie communiste et musulmane pour une période pesante, très pesante de 3, 4 ou 5 ans. Il est évident que l’on imagine une situation comme celle du passé, mais en réalité, ils viendront en cravates, avec de nouveaux styles et néologismes très modernes et par conséquent s’empareront au début du consensus des gens. À ce stade, cette grande guerre se mettra en place. Nous en sommes à la veille. Aussi devons-nous fortement croire en la promesse faite par le Cœur Immaculé de Marie, depuis Fatima jusqu’à Manduria. Si à Fatima Marie parlait de la conversion de la Russie, à Manduria elle a dit : « Moi, à Manduria, je demande la conversion de la Chine ».
Ce sont des messages stratégiques à travers des apparitions peu comprises dans leur intégralité et leur importance. Certes, Fatima a été reconnue par l’Église, tandis que Manduria est décrite comme une antichambre « d’une œuvre hypothétique et imaginaire du mal ». L’épiphanie mariale n’a non seulement pas été comprise, mais lâchement combattue avec mille artifices (qui n’ont par-ailleurs jamais réussis) et dans une certaine manière inscrite dans la liste des apparitions non seulement non reconnues, mais aussi fausses et même démoniaques. C’est une grande douleur ! Tout le monde a été perdant !
C’est un problème majeur pour l’Église, parce que lorsqu’une certaine hiérarchie s’oppose fermement et n’étudie pas les faits, les avantages, les grâces, les conversions et tous les écrits qui ont pendant très longtemps été donnés et prouvés à travers le don du charisme prophétique, de graves dommages se vérifient. Bien sûr, en l’espace de vingt ou trente ans, ces choses sont mieux comprises.
A Manduria, nous arrivons aux 30 ans depuis le début de l’Apparition, après quoi ce qui a été écrit et dit par la Dame du Ciel se vérifiera, mais pas seulement, Notre-Dame a parfaitement expliqué comment les dates de Son Apparition coïncideront nécessairement avec des dates précises importantes dues à des événements douloureux, sans exclure celles du 25 mars, du 12 décembre, du 23 (le jour de l’Apparition). Le 25 mars de chaque année, des messages prophétiques sont reçus, tandis que le 12 décembre (jour de mon anniversaire) je reçois la révélation de secrets ou de messages très importants qui font référence à la situation de l’Église et de l’État.
Notre-Dame à Manduria continue de parler tant de la nation italienne, de sa conscience, de sa mission, de la promulgation de toutes ces lois qui la mèneront, inexorablement et dans la douleur, vers sa défaite. Mais Elle la sauvera ! La visite de Marie est une invitation, un appel de Dieu ! À la lumière des faits d’aujourd’hui et de la dureté de nos cœurs, il est inutile de dire que cela coïncidera avec une pauvreté très, très ressentie, et par le peuple italien en particulier.
On ne trouvera pas beaucoup de « pain » et nous ne recueillerons plus tout ce qui jusqu’à présent a été produit dans le pays du vin, de l’huile et du miel. C’est pour cela que nous devons considérer que notre Italie, étant le jardin du monde, ne produira plus les fruits que nous avons recueillis à ce jour. Il y aura de graves inondations après le déclenchement de cette guerre au Moyen-Orient et pendant un certain temps, cela nous semblera un fait lointain, parce que nous, Européens, nous regardons par la fenêtre, pour ainsi dire. Il y aura soudainement des eaux d’une grande ampleur qui produiront des éboulements de terrains, dans les rues s’ouvriront des trous béants qui provoqueront l’effondrement de diverses parties des villes et de villages.
À ce moment-là, débuteront les faits annoncés au sujet du Roi que nous attendons et qui doit venir, le Roi que Jésus et Notre-Dame ont préparé depuis si longtemps. Ce sera une personne jeune qui portera des signes indubitables comme sainte Jeanne d’Arc à Manduria en a donné la description au fil des ans, des marques visibles sur le corps, qui ont peut-être été révélées par certaines belles âmes dans le passé, mais que le Seigneur Jésus a mis en évidence, c’est-à-dire qu’à travers la mystique moderne, il sera possible de nos jours de rendre ces aspects plus clairs, plus compréhensibles.
A Manduria, sainte Jeanne d’Arc parle de beaucoup de choses. Ainsi, ce Roi qui doit venir sera un consacré, qui de plus est sera lié à la Vierge de l’Eucharistie, et pendant ce lapse de temps l’Eucharistie reprendra sa dimension, après avoir été complètement dénigré, humilié, et totalement niée, pour être à la fin ôtée des Églises. Le Saint Sacrement paiera un prix fort, c’est-à-dire qu’il sera « enlevé » pendant un certain temps.
Et cela pour une succession de faits, de tensions sociales, virales et catastrophiques et à cause des décisions de ceux qui ne mettent pas la foi à la première place. Le temps vient où des « gens » d’une particulière importance apparaîtront et que Dieu aura choisi et enrichi par beaucoup de dons. Ensuite nous verrons se lever de nouvelles monarchies, mais non comme celles du passé. Depuis des années, j’offre dans ma petitesse ma souffrance pour ces âmes aux vertus spéciales.
Peu à peu, la monarchie apparaîtra à nouveau en Allemagne, en Autriche, en Hongrie etc. … elle reviendra sous une forme renouvelée et sera comme le bras droit pour l’Église. Sainte Jeanne d’Arc dit qu’à cette époque, la basilique d’Orléans, un peu comme le sanctuaire des martyrs d’Otrante (Italie), s’illuminera de nuit et on entendra chanter. Ainsi, le sud de l’Italie va battre avec le cœur de la France : ce seront deux nations unies et la Pucelle en sera l’ambassadrice. En référence à cela, nous pourrions aussi parler longuement sur la troisième guerre, comment et quand elle se produira, mais je crois que pour l’instant il suffit de faire un pas à la fois pour surmonter la tentation de l’inconnu, sans tomber dans le catastrophisme.
Comprenez-vous maintenant l’importance d’une union avec l’Huile Bénie, de la consécration à travers la Dévotion aux Larmes de Notre-Dame ? L’huile bénie en effet nous aidera et nous réconfortera dans des moments de tribulation particulière. Maintenant nous n’en sommes qu’à la purification !
Lorsque l’Avertissement aura lieu en ses trois étapes, nous n’aurons pas uniquement l’occasion d’être éclairés dans les consciences, mais nous devrons tenir compte de beaucoup d’aspects qui y sont liés, et nous devrons faire face durant des semaines entières à des problèmes de survie et de santé. Cependant, si je n’avais pas vu la punition, je ne vous dirais pas que ce sera une dure épreuve. J’espère que tout cela ne deviendra pas pour certains un motif de peur pour s’inquiéter à faire des réserves d’aliments « x ou y ».
Nous devons penser que durant ces jours il faudra prier et jeûner, mais nous ne devrons pas manquer non plus de bougies et d’aliments simples à consommer, parce qu’il est évident, même avec les événements dans la phase un, deux et trois, certaines choses dans l’atmosphère produiront un air pesant, comme lorsque des gaz sont libérés et que nous soyons obligés de mettre un masque pour respirer. Ainsi durant ces jours, nous n’aurons pas la possibilité de sortir pour les achats habituels de nourriture.
Ceci est important, mais il ne faut pas tomber dans l’alarmisme, puisque nous ne serons pas encore dans la période des jours de ténèbres qui viendront pendant la seconde moitié de la guerre mondiale, en hiver. Nous savons que ce sera en Janvier, tandis que les phases de l’Avertissement commenceront en Mars.
Les dates existent, mais je ne peux pas encore les révéler, parce qu’il n’est pas nécessaire de créer du sensationnalisme. Nous devons par contre être prêts. Cette huile bénie que Notre-Dame nous envoie est une préparation et une prise de conscience sur les temps à venir, mais en prévision de ces moments, nous devons nous entraîner en acceptant maladies et situations quotidiennes, en vivant une véritable consécration, avec une forte perception du Sacré, car Jésus reste parmi nous toute la journée et pas seulement quelques fragments de celui-ci.
Redisons souvent : « heure après heure, Seigneur Jésus, vous êtes avec moi, Vous me donnez la force, Vous vivez en moi Jésus, Vous me guérissez, Vous me libérez, Vous me pardonnez ! » Cet aspect de la Consécration demandée à Fatima, nous l’obtenons à Manduria à travers l’onction avec l’Huile bénie : nous devenons ainsi les gladiateurs de Marie, ceux qui prient, espèrent et reçoivent également ces prophéties, les réalisent « ipso facto » maintenant, dans la réalité quotidienne, afin de grandir comme des hommes, des femmes, des jeunes et des enfants forts, passionnés par la vie, qui ne jettent pas par la fenêtre ce qu’ils n’aiment pas , mais que de ces choses ‘non bonnes’ arrivent à valoriser l’épreuve évidente, en la dépassant. Ceci signifie être Témoins de Marie et dans ce sens nous annonçons le Triomphe de Notre-Dame qui aura lieu avant la guerre mondiale.
Providentiellement la Dame nous dit que le dernier dogme sera de toute façon proclamé, et ce sera le dernier.
Lorsque Laurentin est venu ici, nous avons longuement parlé et il a dit « c’est quelque chose qui ne peut pas être fait maintenant ». Mais Notre-Dame l’a demandé et c’est donc le moment de la promulgation du dogme de Marie Corédemptrice, Avocate et Médiatrice. Elle le dit les premières fois en 1992, lorsqu’elle est arrivée à Manduria, et déclara dans les tous premiers mois : « Je suis l’Avocate de Dieu » et ensuite « la Médiatrice de Grâce entre vous, et entre vous et Mon Fils ». Ainsi, avant même de se déclarer comme Vierge de l’Eucharistie, Source de l’Huile Sainte de l’Onction pérenne et Mère de l’Olivier Bénit, Jésus, c’est-à-dire la Mère du Fils de Dieu à travers les rameaux duquel (ce Germe de Jessé de la famille davidique) toute la famille humaine est nouvellement greffée avec le retour glorieux du Christ, dans le pacte final de la réconciliation avec Dieu.
Voici la nature de ce nom « Olivier Béni » : tandis que Marie est l’Olive très belle, à travers elle la sève du Christ, fait naitre un nouvel héritage, une nouvelle vie, un nouveau christianisme, un nouvel avenir. Elle est l’Étoile de tous les temps, l’Échelle de Jacob, la Rose Mystique qui annonce le Paradis sur terre, la Jérusalem libérée (hélas, nous savons malheureusement qu’il n’en sera pas ainsi pour celle terrestre, parce que Jérusalem recevra des coups et des coups amers.)
Ayant dit cela, nous pourrions parler et approfondir des nombreuses prophéties de Manduria, mais je voudrais m’arrêter ici pour dire à ceux qui ont écouté, de ne pas être angoissés, parce qu’avec Notre-Dame rien n’est tristesse, avec elle tout se révèle comme un projet non réalisé.
Au contraire, nous trouvons une nouvelle énergie, une nouvelle vitalité et, pourquoi pas, voir aussi toutes nos frustrations, nos pensées, nos missions qui n’ont pas encore été réalisées, les mettre au service du Triomphe du Cœur Immaculé de Marie, et enfin les voir se réaliser.
Alors nous devons non seulement priez dans nos maisons, offrir nos souffrances, mais aussi divulguer et rendre fécond les Messages de Notre-Dame, surtout ceux qui sont authentiques, ceux qui sont véridiques.
Car la plaie de notre temps est aussi la fausse prophétie, « pour ne pas avoir accueilli les vrais Messages ». Jésus nous dit : « Je permettrai au diable de se moquer des hommes afin qu’il soit encore plus difficile de trouver la sagesse qu’ils ont rejetée. »
Nous lisons dans la Sainte Écriture que le Seigneur « a fermé le cœur à Pharaon ». Espérons que cela n’arrivera pas ! Les pharaons de ce temps, c’est-à-dire ceux qui veulent obstruer le chemin, doivent savoir qu’ils ont devant eux un peuple, même s’il est ce petit reste, mais un peuple rangé du côté de Marie, le plus grand Général, notre Grande Combattante.
Ainsi, avec tous ceux qui sont mariales et suivent ce chemin chrétien au-delà de l’identité catholique, tous ensemble, nous devons proclamer une fois de plus que cette échelle de Jacob est plus que jamais ouverte en montée et en descente : comme Jésus est par elle, de même c’est par elle qu’Il reviendra, parce que Jésus est sur le point de revenir. En prévision de cela, il y aura des signes eucharistiques venant du Ciel, des signes mariales, solaires et même physiques, car il y aura beaucoup de guérisons, comme malheureusement aussi beaucoup de morts.
Avançons donc avec la confiance des enfants de Dieu, prêts à œuvrer avec la dévotion aux Larmes de Notre-Dame contre toutes les dictatures qu’on nous imposera, y compris celle du coronavirus, parce qu’elle n’a pas été donnée par hasard. Seul Jésus peut savoir combien grandes sont les larmes de sa Mère ! Sans aucun doute le Père, lorsqu’Il reçoit l’offrande de notre souffrance, Il l’accueille. Mais ce n’est que grâce à la puissance des larmes de Marie que nous pourrons émouvoir et pénétrer plus facilement le Cœur du Roi. Le Père ouvre alors la porte par les mérites de ces larmes, qui deviennent en fois de plus des larmes de Salut pour nous.
Une dernière question Debora, avant de nous saluer, concernant la direction dans laquelle l’Église catholique semble aller, sous le pontificat du pape François et quelles différences remarquez-vous entre ce pontificat et les deux précédents en termes d’approche pastorale, liturgique et de moralité sexuelle ?
L’Église traverse une période particulièrement complexe et difficile sous certains aspects. Nous devons d’abord nous rappeler, pour être honnête, ce que Notre-Dame a dit au sujet du pontificat de Jean-Paul II : il serait le Pape de la consécration. Son pontificat a été caractérisé par une aide forte au profit de la classe ouvrière, mais nous ne devons pas définir tout le travail et la doctrine effectués par Jean-Paul II comme s’ils étaient de style communiste, en effet nous avons tout l’effet contraire. Il ne faut pas oublier non plus que lorsqu’il est allé, parmi ses nombreux voyages apostoliques, en Argentine, il s’est donné la peine de rappeler le prêtre qui, depuis quelques années, avait décidé de suivre la soi-disant « doctrine de la libération ».
Jean-Paul II a toujours été proche du peuple, des pauvres et des malades et a apporté ses opinions au sein de l’Église. Nous savons aussi que toute la réalité liée au travail des laïcs a beaucoup souffert de cet apostolat et donc il était un Pape qui, à sa manière, à jeter les filets pour une nouvelle évangélisation et une autre façon d’appliquer l’Évangile.
En ce qui concerne Benoît XVI, défini par Notre-Dame comme le « pape de la restauration », nous savons qu’il a toujours veillé à la parfaite exécution de la Doctrine, un Pape théologien qui a réitéré partout les énormes différences entre l’Église catholique et les autres religions. Je fais référence en particulier aux religions juive et musulmane, dans le célèbre discours de Ratisbonne, pour lequel le Pontife a été très critiqué. Ce qu’il a dit à l’époque n’exclut pas le fait qu’ils étaient nos frères et sœurs, mais il visait à mettre en évidence la façon dont les trois religions étaient détachées dans les faits. Surtout avec les Juifs, nous partageons la racine parce que nous venons de cet appel, de ce Pacte avec lequel Dieu voulait sceller son Alliance, mais n’oublions pas que l’Alliance Nouvelle et Éternelle a été réalisée par Dieu en Jésus Christ, à travers Son Sang.
Cela dit, avec ceux qui rejettent le Christ, comme c’est le cas des musulmans, qui ne Le considèrent que comme un prophète, il est clair et évident qu’il n’y a pas de grandes visions de communion, si ce n’est la possibilité d’un dialogue qui exclut néanmoins une réelle intégration. C’est pourquoi, le pape Benoît XVI a voulu souligner que toutes les religions n’ont pas les fondements de la vérité. Nous croyons en Jésus-Christ, nous croyons qu’Il est vivant et vrai parmi nous, qu’il n’est pas un Prophète, mais l’Envoyé du Père, l’Oint par excellence, ainsi ceux qui professent le contraire ne sont évidemment pas chrétiens. À ceux qui croient et soutiennent le syncrétisme religieux, je voudrais rappeler que leur discours et leur travail pour une unité forcée entre les confessions religieuses (qui présentent des différences substantielles), ne peuvent apporter que des conflits. Cela ne veut pas dire que nous ne devons pas nous efforcer à dialoguer et à rechercher la paix, mais nous ne pouvons pas non plus prétendre que les diverses religions doivent être mises au même niveau.
Quant au pape François, disons que sa doctrine est actuellement une source de préoccupation tant chez les prêtres qui ont le respect de la Tradition, que chez de nombreux laïcs dévots et unis au Saint Sacrement et à la piété populaire. Nous savons quelle direction François donne à l’Église, une Église peut-être un peu trop « libérale » dont la source ne semble pas enracinée dans les Sacrements et les Commandements. Tout cela suscite des problèmes et de profonds points d’interrogation, en particulier dans le domaine doctrinal, de la morale sexuelle et conjugale.
Ces derniers temps en effet, toute cette ouverture répandant une tolérance atypique envers la réalité homosexuelle, a suscité une certaine consternation qui, pour beaucoup, entraîne à un véritable scandale. Il est juste de tendre la main à tout le monde sans juger personne, car seul le Seigneur connaît le cœur des hommes, mais de là à vouloir presque sanctifier ou, dans un certain sens, célébrer la normalité de cette diversité, il y a un fossé. Même d’un point de vue liturgique, nous ressentons un évident crescendo dans la diminution du sacré, ce qui produit des effets dévastateurs, en particulier dans les âmes enracinées dans la forte tradition chrétienne catholique.
Il convient de souligner que le respect de la Tradition transmise par les Apôtres n’a rien à voir avec le soi-disant traditionalisme qui, comme tout terme qui termine par « isme », conduit toujours à une certaine déraison et à confiner la religion dans les limites d’une pensée dictatoriale unique. La saine Tradition est cette aiguille de la boussole qui indique le chemin juste dans lequel les Saints de tous les temps, les Pères et les Docteurs de l’Église ont sagement marché en dirigeant l’Église selon la Volonté de Dieu, à travers les siècles et parmi les mille tempêtes et problèmes qui ont caractérisé ses différentes phases.
Je voudrais répéter que nous ne devons pas désapprouver le pape François, parce que nous sommes sûrs qu’en fin de compte le Seigneur nous fera comprendre ce que le Pape veut dire et si nous ne comprenons pas cela, je sais avec certitude que Notre-Dame ne veut pas que nous le jugions.
Le Seigneur veillera de toute façon à son salut, même si sa pensée est entrée un peu trop dans la Doctrine, en déstabilisant certains aspects de celle-ci. Rappelons-nous qu’il faut toujours avoir confiance en l’Esprit Saint, car personne ne peut se moquer de Lui et nous ne devons jamais oublier combien l’histoire est entre les mains de Notre Seigneur Jésus-Christ. S’Il permet ce moment de crise profonde, en raison de ceux qui font la guerre à l’Église de l’intérieur, c’est un signe que nous devons nous accrocher au Sacré-Cœur de Jésus. Lui, sans aucun doute, à cause de ces conflits, fera tout renaître en mieux dans le futur. Nous savons que Notre-Dame est sur le point de triompher avec Son Cœur Immaculé et qu’Elle nous montrera la grandeur de l’Église avec tout ce qui a été annoncé précédemment.
Maintenant, je voudrais vous saluer et vous embrasser un à un et vous dire un grand merci pour les prières que vous offrez à Dieu pour moi ; courage, vous aurez une grande force, parce qu’avec Marie, nous pouvons vaincre !
Amen. Alléluia.
Débora et la Vierge de L’Eucharistie
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L’Aa, « organisation intégriste » ?
L’équivalence alphabéto-numérale de Magdala,
réponses d’Herman Treil à un auteur-éditeur
Dans un texte paru en novembre 2015, Michel Valet (alias Jarnac), auteur-éditeur, qualifie l’Aa d’ «organisation intégriste », sous-entendant implicitement que l’auteur de « Code AA, Rennes-le-Château-l’Énigme » qui en retrace l’histoire de manière quasi-exhaustive, est donc lui-même un « intégriste », puisque, paraît-il, dans son travail « la foi, seule, vaut preuve » ! Dans la situation actuelle de notre pays, auteur de cet ouvrage, je mesure évidemment le poids d’une telle insinuation !…
Demeurons sur le terrain de l’histoire. Les medias ont commencé à donner ce terme d’intégriste à Mgr Lefèvre après sa condamnation par le Saint-Siège, les prêtres postérieurement ordonnés par ce dernier étant considérés comme non valides.
L’Aa ne répond nullement à cette situation. D’abord elle n’est pas une communauté distincte constituée autour d’un prélat dissident, mais un mouvement de grande ampleur considéré comme l’élite secrète de l’Église, couvrant tous les grands ordres religieux : Jésuites, Lazaristes, Capucins, Sulpiciens, Oratoriens, Doctrinaires, Dominicains, etc…
Ensuite, non seulement elle n’est pas en dissidence avec le Saint-Siège, mais au contraire en constitue le rempart ! En ce sens, on n’oubliera pas la place exceptionnelle des armes de Léon XIII à l’extérieur de l’église de Rennes, au claveau central de l’arcade du porche, où elle constitue en cette fin de XIXe siècle, au regard de l’histoire, une forme certaine de résistance de la part du prêtre commanditaire !
On peut en dire autant de l’édicule bordant l’église toulousaine de l’Immaculée Conception, aux armes de Léon XIII, cette église ayant été fondée par les membres de l’Aa de Toulouse, les abbés Massia et Ravary, en lien intime avec le Père Marie-Antoine, de la même Aa.
On constate du reste, que le monumental chemin de Croix de cette église, comme celui de Rennes-le-Château, a été réalisé par la Maison toulousaine Giscard.
Soulignons que les Jésuites, ajoutant aux trois vœux habituels des ordres : pauvreté, chasteté, obéissance, un quatrième vœu spécial d’obéissance au Pape, ont été particulièrement actifs au sein de l’Aa. Dès lors, n’oublions pas, sur le montant gauche du porche de la même église de Rennes-le-Château, le monogramme IHS des Jésuites, en pendant symétrique à la date 1646, durant laquelle, les Jésuites œuvraient au séminaire d’Alet-les-Bains, avant d’en être chassé par Mgr Pavillon, ayant lui-même viré au jansénisme, en rupture avec Rome…
Parmi les assemblées de cette société secrète, l’Aa de Toulouse, la plus importante de France, joua un rôle de tout premier plan dans l’Énigme, ayant créé de nombreuses Aa et redonné vie à celle de Paris.
Plus précisément encore, elle a fondé l’Aa de Carcassonne, et sa présence est simultanément attestée au XVIIe s. à Notre-Dame de Marceille (faubourg de Limoux), d’où partirent deux siècles plus tard, à la demande de l’abbé Saunière, les missions prêchées à Rennes-le-Château par les Pères lazaristes Ferrafiat et Mercié, en 1891 et 1897, dates respectives du début et de l’achèvement des travaux du porche et de l’intérieur de l’église.
En fait d’intégrisme… l’Aa de Toulouse recèle plusieurs figures de sainteté, dont le procès en canonisation a été ouvert à Rome : le chanoine Maurice Garrigou, premier Commis de l’Aa de Toulouse, fondateur de l’Ordre de Notre-Dame de la Compassion, dont les sœurs sont toujours présentes et actives en Afrique, en Amérique latine, et en Europe ; le Père Marie-Antoine, de la même Aa, dit « le saint de Toulouse », qui vint prêcher avec un immense succès à Limoux et Notre-Dame de Marceille (s’étant entretenu avec Jean-Jaurès, ce dernier fut apostrophé à l’Assemblée nationale par ses confrères socialistes, pour avoir laissé faire sa première communion à sa fille Madeleine …) C’est l’honneur du Père Marie-Antoine et de ses confrères capucins d’avoir créé à Toulouse, les premiers « restos du cœur », avec des soupes chaudes qu’ils servaient eux-mêmes aux pauvres de la ville et partageaient avec eux. (À souligner qu’il y eut 4.000 personnes aux obsèques de Jean Jaurès à Toulouse, 60.000 à celles du Père Marie-Antoine !)
Or, en 1945, le Cardinal Jules Géraud Saliège, Archevêque de Toulouse, grande figure de la Résistance française, Compagnon de la Libération et Juste des Nations, rendit hommage à l’Aa, en accordant son Imprimatur et sa Préface au livre de Mgr Clément Tournier sur le chanoine Maurice Garrigou, Premier Commis de l’Aa de Toulouse (mentionné plus haut), qu’il présente ainsi :
« Le zèle déployé dans une société secrète de prêtres et de séminaristes, tout témoigne que, conduit par l’Esprit-Saint, M. Garrigou fut un éminent serviteur de l’église de Toulouse… livre qui montre la puissance et la fécondité d’une association sacerdotale dont M. Garrigou fut l’âme. » (Un saint Vincent de Paul Toulousain, le chanoine Mathieu Garrigou, Toulouse, Privat,.1945)
Or, si l’Imprimatur a été accordé par le Cardinal Saliège, le Nihil obstat l’a été, lui, par F. Cavallera, c. d., dont Mgr Clément Tournier révèle précisément « sa spéciale connaissance des Archives de l’Aa toulousaine » et des « Origines de la Société des Missions étrangères » créée par Vincent de Meur, lequel n’est autre que le fondateur de l’Aa de Toulouse au XVIIe siècle !
Sans perdre de vue que Mgr Tournier révèle incidemment avoir été lui-même l’élève de professeurs de « l’Aa réorganisée et finissante », qu’il cite nommément, en livrant la liste impressionnante des prélats sortis de l’Aa de Toulouse au XXe siècle… (cf. Mgr Tournier, op. cit., p. 428-429)
Ainsi, compte tenu de la discipline du secret au cœur de l’Aa, on se prend à penser que, durant la seconde guerre mondiale, parmi les prélats et prêtres constituant autour du Cardinal Saliège, un réseau de résistance catholique généralement passé sous silence par les médias : de Courrèges, de Solage, Théas, Rodié, Decahors, Naudin, Salvat, déportés, Moussaron, Gèze, emprisonnés, ;
de Villeneuve, de Naurois, aumôniers des maquis ; Begougnioux, Cistac, Garail, et bien d’autres encore…,
ont vraisemblablement figuré d’anciens membres de l’Aa ou formés par des professeurs de cette société secrète, théoriquement disparue à cette époque…
Et nous aurions pu citer au XVII s., outre Vincent de Meur, créateur de l’Aa de Toulouse et fondateur des Missions étrangères dont le rayonnement se poursuit encore dans le monde, nombre de saints prêtres !…
Telle est, pour chercher à discréditer l’auteur et son ouvrage, la société qualifiée d’ « intégriste », en des temps d’incertitude, qui devraient, pour cela, inciter à plus de retenue…
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Pour ce qui est des équivalences numérales, précisons qu’elles ne viennent, en réalité, qu’en appui du propos pour le conforter.
Une distinction s’impose d’emblée entre le code usuel fixant la valeur des lettres selon leur rang alphabétique (A = 1, B = 2… Z = 26), et le Code AA propre à cette association, code fondé sur l’accomplissement de l’Alliance et son secret, tenant ainsi compte du passage de l’hébreu au latin. Ce dont, en fait, rend excellemment compte la structure du livre de l’abbé Boudet, à commencer par sa liste-clé comparative : dialecte languedocien – langue anglo-saxonne, en 78 comparaisons…
Les exemples rassemblés par thème en fin du livre Code AA, Rennes-le-Château, l’Énigme, permettent, par leurs références et leur renvoi dans l’ouvrage, d’avoir une vision synthétique justifiant leur emploi.
Ignorant étrangement ce code particulier qui occupe pourtant une place prépondérante dans l’ouvrage, l’auteur de la critique, pour affirmer son propos, retient une équivalence du code usuel délibérément tirée de son contexte pourtant fort significatif :
MAGDALA = 39 = GRAAL.
Cet exemple n’offre évidemment aucun intérêt, si l’on omet que la valeur de cette équivalence relie précisément les trois édifices de Rennes-le-Château restauré ou édifiés par l’abbé Saunière, tous trois dédiés à la sainte patronne de la paroisse :
1 – L’église Sainte-Marie-Madeleine
2 – La villa Bethania
3 – La tour Magdala
1 – ÉGLISE SAINTE-MARE-MADELEINE
a)…Préalablement nous avons mis en évidence la disposition codée de cette église selon le tracé de la Médaille Miraculeuse, révélant le mot GRAAL.
b)…la double datation du porche : 1891 – 1892 (procédé inconnu dans l’histoire de l’art sacré), livre par la somme de chacun de ses chiffres, la même valeur :
1891 – 1892 = (1+8+9+1) + (1+8+9+2) = 19 + 20 = 39 = GRAAL !
2 – VILLA BETHANIA
Double datation : 1900 – 1901, fractionnée en 4 cantons :
19 – 00 – 19 – 01 → 19 + 00 + 19 + 01 = 39 = GRAAL !
[Sur la double datation du porche, voir dossier sur le blog de ce site :
I – LES SINGULARITÉS DE L’ÉGLISE DE RENNES-LE-CHÂTEAU ET DE LA VILLA BETHANIA
1.3 Du porche à la villa Bethania, le double datation, le graal et le Règne du Sacré-Cœur ]
3 – TOUR MAGDALA
Pas de datation, car le nom se suffit :
MAGDALA = 39 = GRAAL !
À travers cette valeur commune confortant le tracé codé de la nef révélant le mot GRAAL, ce constat met en évidence la réalité d’ UN PLAN PRÉÉTABLI !
Pour autant, comme nous l’avons indiqué ci-dessus, nous insistons bien sur le fait que ce constat chiffré relatif aux trois édifices, vient en confirmation d’une étude préalable détaillée développée dans l’ouvrage.
Ainsi, mon travail d’historien s’appuyant sur les Archives de l’Aa et de certains documents que l’on m’a confiés, je souhaite ardemment qu’après avoir tenté de discréditer ce livre qui dérange, certains chercheurs, abandonnant leurs préjugés, l’examinent attentivement et, au fil des recoupements, pressentant ce qui le sous-tend, finissent par s’intéresser à son contenu…
Il me tient à cœur de rappeler ici qu’après avoir feint de l’ignorer, on a plagié le tracé codé du Graal en l’église de Rennes-le-Château, publié avec dépôt légal il y a déjà près de 20 ans… mais, hélas, en l’amputant délibérément de la Croix trop dérangeante, se détournant ainsi du « but », de « la fin du combat par le Phi-», pour des chimères.
La leçon sera-t-elle tirée ?… C’est la question.