Le rayon vert de la cathédrale de Strasbourg est visible deux fois par an, aux équinoxes. Il sera de retour ce mercredi 20 mars, si le temps le permet : si le soleil brille, il touchera à 11 h 38 le dais de pierre qui surplombe le Christ de la chaire. Il signe les changements de saison sur l’horloge de la chaire, authentique horloge astronomique. Les six jours suivants, du 21 au 26 mars, le rayon vert passe sur le Christ chaque jour un peu plus bas. Il disparaît ensuite jusqu’à l’automne prochain. Le dimanche 22 septembre, le rayon vert sera à nouveau sur le dais, et il sera 12 h 24.
Ce phénomène est produit par les rayons du soleil qui traversent un morceau d’un vitrail du triforium méridional. Dans la cathédrale, des conférences sur ce rayon et la chaire de Geiler seront données par François Muller les mercredi 20, jeudi 21 et vendredi 22 mars, de 11 h à 12 h (entrée libre).
Une tres bonne lecture, merci bien !!!
Bonjour à tous,
Pour des raisons de blason familial, je m’intéresse à cette histoire de pommes bleues, ainsi qu’aux pommes du Jardin des Hespérides :
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Les Pommes d’or du jardin des Hespérides : Dans un jardin situé à l’extrême Occident, sur le mont Atlas, se trouvait un pommier aux fruits d’or. C’était le présent offert par Gaïa à Héra, lorsqu’elle avait épousé Zeus. Elle le confia à la garde du Titan Atlas et de ses filles, les Hespérides. Héra envoya par surcroît le dragon Ladon protéger ce jardin, dont les mortels ignoraient l’emplacement. Eurysthée demanda à Hercule de lui ramener ces pommes d’or. Atlas, qui avait pris part à la révolte des Titans contre les Olympiens, avait été contraint pour son châtiment de soutenir la voûte des cieux sur ses épaules. Les Hespérides et le dragon Ladon, quant à eux, montaient toujours la garde devant l’arbre magique.
Hercule dut d’abord découvrir où se trouvait ce jardin. Il demanda à Nérée, l’ancien Dieu de la mer, de le lui indiquer. Nérée refusa de lui répondre sous le prétexte qu’il n’était qu’un simple mortel. Hercule se saisit alors du Dieu et lui dit qu’il ne le relâcherait pas tant qu’il ne l’aurait pas renseigné. Nérée céda finalement et conseilla à Hercule de demander à Atlas de s’emparer lui-même des pommes d’or. Une fois arrivé au jardin, Hercule pria Atlas de prendre les pommes à sa place. Atlas rétorqua qu’il craignait le dragon. Hercule tua le dragon grâce à ses flèches empoisonnées . Hercule accepta de soulager Atlas de son fardeau tandis que le géant cueillait les pommes d’or. Il en rapportant 3 à Hercule mais il ne voulait pas reprendre sur ses épaules le poids des cieux. Il préférait se rendre lui-même à Argos pendant que Hercule continuait à le remplacer. Cette proposition déplut à notre héros qui savait qu’Atlas ne reviendrait pas ! Il fit semblant d’accepter et demanda à Atlas de reprendre sa place un moment le temps d’ajuster sa peau de lion pour que ce soit plus confortable. Atlas posa les pommes d’or à terre et remis les cieux sur son dos. Hercule prit alors les pommes et s’enfuit pour les rapporter à Eurysthée. Celui-ci ne voulut pas les conserver et les rendit à Hercule qui les donna à Athéna. Elle se hâta de les remettre dans le jardin d’Héra.
Cependant Héra ne consentit pas à pardonner : Hercule avait tué son dragon et dépouillé son jardin. La déesse irritée le frappa de folie après accomplissement des 12 Travaux.
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J’exoplique tout cela pour vous parler d’un fait curieux qui légitimise mon pseudo Hercule :
SAGARZAZU : “Prends cette pomme !”.
Genèse 3 : 6 – « La femme vit que l’arbre était bon à manger et séduisant à voir, et qu’il était, cet arbre, désirable pour acquérir le discernement. Elle prit de son fruit et mangea. Elle en donna aussi à son mari, qui était avec elle, et il mangea ».
Autres significations :
“Un lieu planté de pommiers” ; un verger ; “un point de vue depuis la pommeraie”.
Antique et noble lignée basque de maisons situées dans les villes de :
Hondarribia-Fuentarrabia, Irantzu-Irun, Oiartzun et San-Sébastian (en Gipuzkoa).
Avec la devise : « Je suis allé aux Canaries et en Colombie »,
Pascual et Bautista de Sagarzazu ont été reconnus comme nobles par les tribunaux de Justice ordinaire de Fontarabie, en 1740.
A cette lignée des Sagarzazu, il faut ajouter la branche des Arzac.
José Arzac y Sagarzazu a également prouvé sa noblesse devant les tribunaux de Justice ordinaire de San Sebastian, en 1757.
La branche des Usurbil a été créée à Grenade et elle descendait d’Henri de France y Sagarzazu, né à Huesca en 1764 et qui a rejoint la Société royale des aspirants de marine en 1785.
HERALDIQUE : D’or, avec un pommier de sinople (tronc et feuilles) portant 17 pommes d’or (ou de sinople).
Ces armes sont très parlantes en raison du mot basque “Sagar”, qui signifie “Pomme”, d’où ont été formés et sont dérivés de nombreux noms de famille.
On a recensé près de 200 noms de famille ou de maisons, comme ou dérivés de sagar (pomme) et qui traduisent ce lien avec les pommes : Sagar, Sagaraicar, Sagardi, Sagardia, Sagardoito, Sagardiburu et Basasagar.
Autre blason de la famille Sagarzazu : De sinople, avec une fontaine de trois tasses…les -Bains
Je crois que cela valait le coup d’être raconté pour éclairer la petite histoire des mystères de Rennes-les-Château
// Rennes-les-Bains
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Mais, j’ai tout de même une excellente nouvelle à vous annoncer qui réjouira le coeur des chercheurs !…
Le mystère des “Pommes bleues” a été enfin élucidé et cette découverte authentifie définitivement que les deux parchemins “dits de Saunière” ont bien été réalisés par les prêtres du groupe local de l’AA auquel appartenaient l’abbé Henri Boudet, l’abbé Antoine Gélis, les abbés Bérenger et Alfred Saunière, etc…
Et cela, bien entendu, n’a rien à voir avec les jeux de lumière provoqués par les vitraux de l’église de Rennes-le-Château, à la date du 17 janvier de chaque année…
Il vous faut aussi savoir que ce n’est pas moi qui ait découvert l’explication de ce mystère, mais une lectrice du livre “CODE AA RENNES-LE-CHÂTEAU”, L’ENIGME” d’Herman Treil…
Je peux simplement vous dire que, nous les mecs, nous sommes vraiment des glands car nous passons près de choses très simples et évidentes, sans jamais les voir, en allant toujours chercher midi à quatorze heure !…
A l’époque j’avais fait rigoler le contre-amiral Georges Cagger lorsque je lui avais annoncé que je me demandais si ces “pommes bleues” n’étaient pas les curieuses roches du “Cugulhou du couchant” vues depuis le sommet de la montagne de Blanchefort ; mon annonce avait été accompagnée d’un croquis comportant une belle triangulation…
Il m’avait répondu qu’il trouvait mon propos puéril… Ce à quoi je lui avais répondu en lui demandant si lui-même ne trouvait pas son propre comportement puéril, lorsque il écrivait une double correspondance à Michel Vallet : sous son vrai nom depuis son domicile de Neuilly-sur-Seine, et sous son pseudonyme “Pumaz” depuis la gare St Lazare à Paris…
Du coup, il s’était vexé et avait envoyé un courrier sévère à Michel Vallet qui m’avait confié cette facétie de collégien…
Quand à en dire plus sur la signification des “pommes bleues”, il va vous falloir attendre encore quelques temps…
Le but de ce petit message est juste de poser un acte d’antériorité à l’encontre des foules ignorantes…
Sachez simplement que ce ne sont pas les hommes qui arriveront à mettre à jour le temple du Grand Romain (L’empereur Constant, fils de Saint Constantin et petit-fils de Ste Hélène), mais un tremblement de terre au moi de Mai, et les forts dérèglements climatiques de nos temps mauvais et remplis de confusion…
*** Au sujet du mystère toponymique des Cugulhou, Cugurou, Cucurulha, Cacugdna ou Cucugnan, l’origine du nom Cugulhou provient de :
kuk (hauteur (rocheuses) en forme de meule). Le redoublement du mot indique un pluriel… c’est-à-dire l’existence de plusieurs roches hautes comme des meules de foin
Autre possibilitéS : anthroponyme gaulois Cucculus…
Meilleures pensées
Hercule Navarrau-Arsa
Re-Bonjour à tous,
Et voilà les preuves de ce que j’affirme :
http://usuarios.multimania.es/Javier_Alonso/escuatrasados/Sagarzazu.jpg
SAGARZAZU «mirador del manzanal»
Antiguo y noble linaje con casas radicadas en la ciudad de Fuenterrabía, villas de Irantzu-Irún y Oiartzun (todo en Gipuzkoa). Pasaron a Canarias y Colombia. Pascual y Bautista de Sagarzazu fueron reconocidos como nobles por la Justicia ordinaria de Fuenterrabía en 1740.
Entroncaron los Sagarzazu con los Arzac y a esta rama perteneció José Arzac y Sagarzazu, que en 1757 probó también su hidalguía ante la Justicia ordinaria de San Sebastián.
Procedente de Usurbil fue la rama establecida en Granada y de ella fue descendiente Enrique de Francia y Sagarzazu, nacido en Huesca en 1764, e ingresado en la Real Compañía de Guardias Marinas en 1785.
ARMAS
Las trae parlantes, o sea: De oro, con un manzano de sinople, frutado de lo mismo.
Decimos que estas armas son parlantes porque de la palabra vasca sagar, que significa manzano, se formaron los apellidos Sagaraicar, Sagardi, Sagardia, Sagardiburu y Sagarzazu.
Otros: En sinople, una fuente, de tres tazas.
Bibliografía.- BLASONES Y LINAJES DE EUSKALERRIA por Endika de Mogrobejo Tomo: IX Págs. 348-349.- “REPERTORIO DE BLASONES DE LA COMUNIDAD HISPÁNICA” de Vicente de Cadenas y Vicent – Tomo IV – Pág.1538