Le vif intérêt suscité par la vidéo précédente m’incite à continuer cette publication.
1ère partie. La construction de la figure géométrique * : I C I
2ème partie : Le secret de Rennes est dans le cadastre de Sougraigne **: I C I
Dans un premier temps, l’intérêt du diable dans l’église, le grand haut-relief et quelques Stations du Chemins de Croix font partie des explications préliminaires. Didier Héricart de Thury en arrive ensuite à expliquer de quelle façon il a compris que l’abbé Boudet, en une page, signifiait à la fois la chose et le lieux. Il sera facile désormais, au chercheur, de recourir au même procédé pour se convaincre du bien-fondé de cette analyse.
…sans images, c’est vraiment très abscons! A quand une version imagée?
Merci
REPRIS DEPUIS LES COMMENTAIRES DE LA VIDEO YOUTUBE.
Mario Land
Pourquoi dire que le secret de Rennes est à Sougraigne ? C’est un non sens total. Et la je rejoint l’analyse du chercheur Jean Brunelin qui dit que l’on ne mets dans cette histoire que nos propres rêves. Replaçons-nous en 1880… Si Boudet cherche le secret, et si il est à Sougraigne, pourquoi parler du secret de Rennes dans son livre ? si il avait habité Couiza alors il s’agirait du secret de Couiza ??? c’est l’Or de rennes de De Sède qui parle d’un secret à Rennes uniquement en 1967. quel est l’élément qui permet de rattacher un secret à sougraigne avec Rennes les Bains ou Rennes le Château ? En gros pourquoi attribuer ce Secret à Rennes si il est à Sougraigne ? Pourquoi et dans quel but les abbés auraient ils eu cette envie de rattacher ce lieu à trouver à leurs cures respectives ( Rennes les Bains et rennes le Château )?
Tout cela découle d’un anachronisme grossier. L’abbé aurait du indiquer ” Le secret de Sougraigne est sur le cadastre de Sougraigne “. A vous de répondre…
Autre chose, l’intervenant que je ne connais pas, semble certain de ses déductions, qu’ont-elles donné de concret sur le terrain ? Excepté le fiasco que la presse a relaté il y’ a 10 ans…
Michel Vallet :
Votre observation est légitime. Ce qui vous gêne, c’est le qualificatif de “secret de Rennes” au lieu de “Secret de Sougraigne”. Mais c’est oublier l’implication historique de Rennes, qui fut un point névralgique jusqu’au X ème siècle. Rennes est un épicentre générique, Sougraigne est une extension de la problématique. Ce n’est pas moi ni Héricart de Thury qui ont fait ce choix.
Quant à votre reproche concernant le résultat des recherches en 2011, c’est également faire l’impasse sur les circonstances de leur divulgation. Rien n’était terminé ; mes deux compagnons ont jugé que je ne leur était plus utile. Cela ne m’a pas empêché, par la suite, de reprendre mon bâton de pèlerin. Viendra le moment où je m’expliquerai sur les résultats obtenus.
Mario Land
Merci pour votre réponse. Nous verrons bien. Mais j’entends trop de monde dire… Je sais ou se trouve la cache mais je ne peut rien dire. Depuis 1967 que c’est comme ça. Qu’est ce qui vous empêche de tout balancer une bonne fois pour toute ? En plus, j’ai vu d’autres vidéos et même un gars nous a montré la grotte peinte derrière Marie-Madeleine de l’église de l’Abbé de Rennes-le-Château. Pour en revenir au livre du curton de Rennes-les-Bains, il est facile de lui faire dire ce que l’on veut ;je suis sûr qu’en prenant que ce qui m’arrange dans les pages du livre, j’arrive à vous retrouver la recette du Cassoulet.
Michel Vallet
En effet, rien ne m’empêche de tout “balancer”, mais il y a la forme. Cela ne peut se faire que dans un contexte d’ensemble. Expliquer cela en 15 pages serait trop réducteur et, surtout, sujet à discussions sans fin, même s’il y a du concret. Mais j’y viendrai, patience.
Il y a une bonne quarantaine de chercheurs qui ont prétendu avoir résolu l’énigme, puis ils ont disparu ; l’auteur qui montre la grotte de Marie-Madeleine dans les environs, je vois à qui vous faites allusion.
Le tout, en fait, est de savoir ce que l’on cherche. Cela explique beaucoup de choses et permet de ne garder que ce qui est essentiel.