1793. La destruction des archives de la Cité de Carcassonne

Le souvenir de la destruction des archives de la Cité de Carcassonne, perpétrée le 20 novembre 1793, par le procédé d’un monstrueux autodafé orchestré par le Comité révolutionnaire, vient d’être rappelé par Martial Andrieu, dans son blog toujours si intéressant et pertinent : Musique et Patrimoine de Carcassonne.  Il reprend les faits d’après le compte-rendu more »

Le Prieuré de Sion, à l’ombre de l’ « Alpina »

Au cours des années 1965 et 1966, Pierre Plantard et Philippe de Cherisey ont réalisé une demi douzaine de publications polycopiées, ayant trait à Rennes-le-Château et ses mystères, vrais ou supposés. Elles furent toutes déposées à la Bibliothèque Nationale. Parmi celles-ci, une brochure intitulée : Les descendants mérovingiens ou l’énigme du Razès wisigoth, attribuée à more »

Code AA ou Ah ! Ah !

Aux dires de certains commentateurs rhédésiens, la fortune de Nicolas Fouquet ne devrait pas tant à des malversations liées à son statut de Surintendant des Finances, qu’à l’opportunité d’un trésor dont l’existence lui aurait été révélée par le peintre Nicolas Poussin. Relayée depuis bientôt quarante ans dans divers ouvrages consacrés à l’affaire de Rennes, cette hypothèse more »

Avant l’abbé Saunière

Faisant allusion aux nombreuses légendes qui ont cours à Rennes-le-Château, René Descadeillas admet que la plus connue, la plus populaire, est celle de monceaux d’or jadis enfouis dans les parages : à Rennes-le-Château, peut-être, mais aussi à Rennes-les-Bains. Cette légende défie le temps, ajoute-t-il… Au nombre de ces « légendes », dont l’ancien Conservateur fait allusion, nous more »

31 mars 1956: découverte macabre dans le parc de l’hôtel de la Tour

Profitant des premiers beaux jours, une petite équipe, venue de Carcassonne, s’était mise à l’ oeuvre pour percer à jour le secret de l’abbé Saunière. Le maire avait donné son consentement pour l’église ; Noël Corbu, pour les abords du domaine. C’était plus un voyage d’études qu’une chasse au trésor considérant les candidats en présence more »

Le N inversé ou pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer

C’est un gimmick que nous ressortent régulièrement les auteurs en mal d’ésotérisme. Comment expliquer qu’un graveur, en plein milieu de son travail, inscrive un N à l’envers au milieu d’un texte où toutes les autres lettres sont à l’endroit ? Qu’un peintre, représentant le Christ sur la Croix, ait l’idée saugrenue de placer à l’envers more »